L'humanisme dans Candide de Voltaire

Autor: TAI, HSU-TUNG, 戴旭東
Rok vydání: 2013
Druh dokumentu: 學位論文 ; thesis
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Par crainte de la force de la nature, au Moyen âge en Europe, toutes les oeuvres littéraires discutent de la religion. A partir du seizième siècle, la Renaissance se lève en Italie. On recommence à apprécier la valeur de l’homme dans l’art et dans la littérature. Voltaire critique la religion en France. Il croit que la valeur de l’homme est plus importante que celle de la litérature religieuse. La problème social est sans frontière, sans temps et sans espace. Dans son oeuvre, Candide, Voltaire critique la société et la politique pour sortir de la sottise et de l’aveuglement de l’homme, pour faire attention au l’homme. A travers le passé de Candide et les conversations des personnages, il veut non seulement critiquer l’humanité noire, accuser les lois injustes et les mauvaises habitudes, mais aussi offrir un plan de société meilleure, idéale. Ce mémoire a pour but de chercher la question qu’on rencontre au temps où Voltaire se situe. Tout semble misérable. Voltaire nous conseille de nous maîtriser. En fin, on discute l’influence de Candide. Voltaire a composé cette oeuvre avec un style ironique. Par le style ironique, il nous presénte le problème qui lui tient à coeur. En tant qu’homme, il observe tous les élémements de Candide dans une perspective humaniste. Notre étude sur Candide, chef d’oeuvre de Voltaire, se divise en deux parties. La première partie concerne l’observation et la critique sur l’humanisme dans Candide. D’abord, Candide croit totalement en l’optimisme, puis il rencontre beaucoup de frustration, enfin il commence à douter de l’optimisme. L’esprit du doute ouvre la raison du lecteur. Celui qui s’occupe des problèmes humains, c’est le début de l’humanisme. Dans le première chapitre de la première partie, on présente la vie de l’auteur. François-Marie Arouet est né le 22 novembre 1694 à Paris. Sa famille est riche. Naturellement intelligent, il apprend vite et sait réciter par coeur. Voltaire commence à douter la religion. Voltaire a lu toutes les oeuvres de Bayle à douze ans. Cette oeuvre est d’une grande influence contre le fanatisme et la poursuite et la défense de la réalité. Le 16 mai 1717, il est envoyé à la Bastille par lettre de cachet. Quand il a vingt-trois ans, il est resté onze mois à la Bastille. En hiver 1725, défiant le chevalier Rohan Cabot à l’épée, il retourne en Bastille. Après sa libération, il recherche le meilleur régime politique, étudie l’effet de la physique de Newton et le matérialisme en Angleterre. Il écrit une oeuvre philosophique et politique, les Lettres philosophiques. En 1734, ce livre est publié à Lyon. Puis, l’oeuvre est interdite. Voltaire commence à passer une vie d’exilé. Malgré cela, il ne cesse d’écrire des oeuvres pour attaquer violemment la menace religieuse, pour accuser la menace du régime absolu. Il meurt le 30 mai 1778 à Paris. On sait qu’il a été toute sa vie contre le régime injuste et le dogme irraisonable. L’écriture est le moyen de son opposition. L’ironie est la méthode de son attaque. Quoiqu’ il soit exilé de partout, il continue son action. Ce chapitre présente les actions humanitaires de Voltaire. Son oeuvre, La Princesse de Babylone, loue que les pays du nord de l’Europe puisse coexister la monarchie et la liberté du peuple. Les paysans et les nobles participent ensemble à l’établissement des lois. Son oeuvre, Le Dictionnaire philosophique, nomme la prêtrise comme une mauvaise carrière, car on y ment au peuple aveugle et misérable sans pitié. Voltaire se lance dans la mission humanitaire comme un chevalier pour s’opposer à des événements injustes, pour empêcher des erreurs judiciaires. Par exemple : la mort de Calas, la mort du chevalier de la Barre. Le même chapitre introduit des oeuvres de Voltaire. Voltaire est un écrivain prodigieux. Ci-dessous est une liste partielle de ses oeuvres. Tragédie:  Zadig ou la destinée, L’Orphelin de la Chine(1755)  Le Fanatisme ou Mahomet le prophète(1741)  Oedipe(1718). L’oeuvre historique:  L’histoire de Charles XII(1731)  Le Siècle de Louis XIV(1751)  Traité sur la tolérance(1763)  Essai sur les moeurs et l’esprit de nations(1756) Les écrits philosophiques :  Lettres philosophiques(1734) L’oeuvre poétique  La Henriade(1723)  Essai sur les guerres civiles de France, La Pucelle d’Orleans(1755) Discour de la litérature :  Le Temple du goût(1732) Contes et romans :  La Monde comme il va (1748)  vision de Babouc(1746)  Zadig ou la Destinée(1747)  Candide(1753) Toutes ses oeuvres exposent la pensée de l’auteur sur la religion, sur la société, sur la philosophie. Ces thèmes soulignent la raison et la justice. Dans le deuxième chapitre de la première partie, on fait un résumé de Candide. Candide est chassé par le baron chez qui il vit à cause qu’il a fait une erreur. Il commence à mener une vie vagabonde. Dans cette vie, il subit un serie d’événements malheureux. La realité casse le discours selon lequel tout va bien. Il y a beaucoup de différence entre la pensé de Leibnitz et la realité. A la fin de l’histoire, l’auteur nous conseille de travailler durement, de nous ménager bien. Il nous donne vraiment une lumière. Dans le troisième chapitre de la première partie, on analyse la composition de Candide. En écrivant ce roman, Voltaire recourt aux événements historiques. Par exemple : les habitudes locales, le journal, les événements nationaux, les guerres entre les pays. On peut voir que l’auteur ne compose pas ce roman par pure fantaisie. Il veut exprimer ses opinions selon les événements. Candide voyage, il voit des cultures différentes de celle européenne. L’Europe ne se limite plus à la région Méditerranéenne. Il ne se limite plus à l’histoire traditionnelle de l’Europe. En racontant les expérience approchant les cultures différentes, il critique la société européene. Sur le plan de la philosophie, il doute de l’optimisme du philosophe germanique. Sur le plan de la religion, il suppose que les dogmes chrétiens et les cérémonies nous apportent le fanatisme. Voltaire fait beaucoup de critiques pour minimiser la valeur du prêtre. Chaque parti a fait des erreurs exécrables. La discussion parmi les partis n’amène que la guerre. Sur le plan de la guerre parmis les pays, il décrit les rois qui profitent de leurs peuples innocents qui participent à la guerre. Ca fait la guerre sans cesse. Sur le plan de la littératue, il fait une série de critiques envers la littérature contemporaine. Sur le plan de la société, il critique les massacres parmi les races, l’injustice des classes, la position vile des femmes et le mensonge parmi les hommes, etc. Sous la séduction de l’argent et l’influence de la pauvreté, des femmes renoncent volontiers à la fermeté dans la vertu pour poursuivre le contentement matériel. Il attaque les privilèges des prêtres vicieux. Il prône que les prêtres sont une masse cupide qui manque de vertu. Il accuse les catholiques, les chrétiens, les juifs et les mahométans d’avoir commis des péchés. L’ironie sur la politique : il méprise les rois. Bien que les rois aient le pouvoir, ils sont renversés souvent l’un par l’autre. L’ironie sur la classe sociale : les classes ne peuvent que se marier entre elles. Il prône l’amour libre. Chacun doit pouvoir choisir qui aimer. L’ironie sur l’optimisme : l’optimisme de Pangloss est vrai en apparence, faux en réalité. A travers la reflexion, l’homme normal peut connaître que son optimisme est illogique. Voltaire recours aux phénomènes naturels et humains, la tempête, le naufrage, le tremblement de terre, la guerre, le maladie et la misère pour renverser le discours de la philosophie, tout est bien, tout va bien, tout va le mieux qu’il soit possible. Le style ironique vient de la raison. Les droits de l’homme sont mis en valeur dans toute son oeuvre. Les principes expliquent que la société doit correspondre à l’humanité. L’homme doit dominer son vouloir subversif. Il doit construire un environnement pacifique sans massacre. L’ironie sur l’armée : personne ne veut perdre sa liberté pour entrer dans l’armée. La plupart de gens entrent dans l’armée par le mensonge de l’autre. Désormais, il perd le droit essentiel d’émigration. La volonté libre est un choix limité par l’autre. En acceptant la punition de l’armée, Candide a voulu ni être fustigé trente-six fois par tout le régiment ni recevoir à la fois douze balles de plomb dans la cervelle. On a la liberté pour choisir un punition qu’on n’aime pas sous la force de l’autre. Voltaire recourt à l’histoire et aux lieux réels pour supporter son discours. Il ne dit pas des événements imaginaires. Le voyage est un moyen important pour connaître le monde. Voltaire recourt au procédé du voyage pour comparer les différences de culture et de coutumes parmi les pays. En comparant, on connait les points communs de l’homme. Voltaire nous force à connaître notre innocence par son ironie. Il critique le péché que la religion crée, la monarchie qui n’existe pas depuis longtemps, le système de classes qui provoque les malentendus, l’optimisme qui manque de logique, la part sombre de l’homme et le mensonge et l’inhumanité dans les armes. Il nous fait refléchir sur notre condition. Dans le quatrième chapitre de la première partie, on analyse les personnages. Les personnages principaux : Candide, Cunégonde, Pangloss(l’optimiste), Martin(le pessimiste),Cacambo (le servant de Candide), Jacques(prêtre de bien), la vieille. Les personnages secondaires:l’Abbé Perigourdin(prêtre de mal), le gouverneur de Buenos-Ayres, le Baron et la Baronne, le fils du Baron, Pococuranté, les rois renversés. A travers le caractère des personnage, la position et les accidents malheureux, il attaque la pensée que « tout va bien ». Ce chapitre traite du phénomène social par rapport auquel l’auteur se situe. Dans la deuxième partie, la discussion sur les thèmes, on discute l’humanisme dans Candide. Au premier chapitre, on cherche l’origine de l’humanisme. On définit ce mot, l’humanisme. L’humanisme est l’idée de la raison et de la justice. C’est à dire que tout homme doit être respecté peu importe sa race, peu importe sa nation. Nous nous respectons mutuellement. Nous ne nous vengons pas d’avoir une religion et une opinion politique différentes. Dans le deuxième chapitre de la deuxième partie, on discute l’observation sur l’humanisme. Les personnages subissent le malheur à cause du fanatisme religieux, de la guerre causée par les humains, de l’habitude mauvaise. Voltaire se regarde comme un humaniste. Il porte son attention sur la religion, sur la guerre, sur la femme et sur la maladie. Il donne aussi un conseil pour un pays idéal et pour le futur. Il loue les Chinois qui possèdent un régime politique raisonnable. La religion décrite par Voltaire Ce qui est critiqué par Voltaire, c’est la folie et le massacre causés par le fanatisme. Dans le cinquième chapitre de Candide, Voltaire mentionne l’église du Portugal qui brûle certains hommes en public, en annonçant que cela peut défendre contre le tremblement de terre. A Lisbonne, cette cérémonie terrible est évidement une action de la superstition. Voltaire la nomme, « bel autodafé ». Dans le même chapitre, l’auteur décrit trois personnes qui sont punies de mort. L’une, pour avoir épousé sa Marraine, l’autre, après avoir pris du porc couvert de peau de poulet. Voltaire ne le dit pas, mais pour un catholique, la Marraine est regardée comme la mère. Epouser la Marraine,c’est comme violer la loi naturelle. Le Juif ne mange pas le lard, même si un petit peu d’ huile est interdit. Il ironise sur les religions. Dans le quatrième chapitre de Candide, Voltaire attaque la syphilis. Ils exaltent le parfait, le saint, n’est ce pas ? Mais le prêtre vole la fortune de Cunégonde. L’action des prêtres est méprisable. Par le nom de Dieu, ils mentent partout. Dans ce quatrième chapitre de Candide, un père ne veut pas donner de dot à son fils, car ses parents ne sont pas contents de lui. Alors, ils l’amènent à l’église pour en faire un prêtre. Cette décision n’est pas spontanée. En fin de compte, on s’interroge soi-même. Est-ce que l’église est un organisation bienfaisante ou un enfer ? La guerre décrite par Voltaire La guerre, c’est la catastrophe inventée par l’homme. Pour le peuple, la guerre signifie le trouble, la terreur et l’ombre de la mort. La guerre arrive toujours. Certains provoquent la guerre. Pour ceux-là, elle apporte des choses différentes qu’au peuple. C’est l’exploitation de la ressources de la terre, du pouvoir souverain. Voltaire critique tous les crimes, certes il critique la guerre. Pousser des appels à la paix est devenu la mission de toute sa vie. Dans le troisième chapitre de Candide, le soldat s’appelle Héros. Il brûle les maisons. Il viole les femmes. Ce roman, Candide, raconte la guerre avec ironie. Voltaire présente la cruauté de la guerre. Ce qui accompagne la guerre, c’est le village brulé, la ville en friche, la tuerie et la débauche pour le citoyen. Pourquoi la guerre ne cesse t-elle d’arriver ? Voltaire nous révéle que les dirigeants poussent le peuple à la guerre pour son droit et pour la conquête. Selon l’humeur du roi et son intérêt, les soldats sont excités à tuer autrui. Dans des romans philosophiques, la scène de guerre et sa raison sont extrêmement ridicules. Malheureusement, la sottise cruelle est toujours mise en scène au présent. Ecrivant d’ une façon fantastique, Voltaire nous présente la guerre, la sottise de l’homme et son crime en face de nous. Il nous force à réfléchir sur la guerre et sur notre situation. La critique de Voltaire sur la guerre nous fait refléchir sur le mouvement de zéle de l’homme pendant mille ans. Sa critique ouvre le masque du Héros dans Candide. Tout ce principe de la raison développe le droit essentiel de l’homme. La structure de la société doit s’accorder à l’humanité. La société doit être construite avec talent. On ne doit pas subir la catastrophe quand on vit selon son caractère essentiel. L’homme doit dominer son désir de détruire, doit créer un environnement sans massacre. Les femmes décrites par Voltaire Dans Candide, Voltaire critique l’amour idéal. Il souligne que l’instinct sexuel a sa qualité. Face au droit et à la fortune, les hommes et les femmes renoncent à leurs promesses et à leur vertu. Voltaire nous montre indirectement les conflits des deux sexes et des classes sociales. Des femmes veulent volontairement être filles de joie. Elles n’hésitent pas à vendre leur corps. C’est leur destinée. Le Chinois décrit par Voltaire Voltaire loue Confucius. Confucius ne parle que de la morale. Il ne parle pas de la superstition. Il ne mêle pas la vérité et la superstition. Comparant sa doctrine avec celle de Confucius, le catholique est hypocrite et superstitieux. Voltaire prône qu’il faut renoncer à cette religion. Le confucianisme amène le bonheur et la paix. C’est la meilleure et la plus raisonnable philosophie. Voltaire respecte l’adage de Confucius, ne faites pas aux autres ce que vous ne voudriez pas que l’on fasse à vous-même. Répondre à l’injustice par la justice, au mal par le bien. Il croit qu’il n’y a pas la moralité dans le christianisme. Il croit que si l’on pratique la doctrine de Confucius, il n’y aura plus de guerre. Voltaire étudie la pensée et la culture de la Chine. Il a lu la traduction des études confucéennes. Il croit que les études confucéennes s’accordent avec l’humanisme. Confucius ne fait qu’attention à la moralité. Il ne prône pas le miracle de Dieu. Voltaire fait de la philosophie chinoise et de la moralité chinoise un exemple à suivre. Le monde idéal de Voltaire En composant Candide, Voltaire se risque à utiliser l’Etat civilisé d’“Eldorado” pour le comparer avec la religion de l’Europe et sa culture. Selon la description de l’Etat “Eldorado”, on peut voir les différences sur le plan de la religion, sur celui de la connaissance, sur celui de l’empereur. Sur le plan de la religion, le peuple de l’Eldorado croit que le Dieu est unique. Cette religion est universelle. Il ne prie pas Dieu. Il ne remercie que les choses que Dieu nous donne. Il n’y a pas de prêtre, car tout le monde est prêtre. Sur le plan de la connaissance, il adore la science. Sur le plan de la politique, il a un bon roi raisonnable, qui respecte la liberté du peuple Le pays idéal pour Voltaire, c’est que le gouverneur aidet son peuple à résoudre le problème du travail. Il fait que tout son peuple a du travail. Il construit une vie sans manque. La conclusion porte sur la pensée de Voltaire. Sur le plan de la religion, Voltaire croit que l’homme peut directement communiquer avec Dieu. Cela peut empêcher que les prêtres escroquent de l’argent et que les partis se disputent. La religion est raisonnable. Elle doit être établie sur la loi de la nature. Sur le plan de la philosophie, Voltaire croit que l’homme doit avoir l’esprit du doute. Le doute raisonnable peut faire la vérité de plus en plus claire. Cela peut nous éviter de tomber dans la sottise, où on dit ce que les autres disent. Sur le plan de l’égalité et de la liberté, Voltaire prône la liberté de la foi, la liberté de déplacement, la liberté d’opinion, l’opinion que tous les hommes ont l’égalité devant la loi. Il accuse qu’on abuse de la liberté. Sur le plan de la tolérance, il croit que la tolérance est l’expression de la raison. L’un, il affirme que chacun a le droit de réfléchir, de faire ses conclusions soi-même. L’autre, il admet que chacun a des connaissances limitées, que chacun peut faire des erreurs. Malgré la race, le temps et l’histoire différents, l’homme a généralement universellement le concept du bien et du mal et de la justice. Dans les faits, il exécute son plan d’idéal social à Ferney entre la France et la Suisse. Il investit dans des usines de soie et d’horlogerie. Grâce à lui, cette ville devient une ville industrielle, où les pauvres deviennent des ouvriers de talent. Dans le troisième chapire de la deuxième partie, on cherche l’influence de l’humanisme dans Candide. La Section un est consacrée au dix-huitième siècle. Sur le plan de la religion, on observe toutes les matières d’études avec raison. Les matières d’études n’accompagnent plus la religion. Elles deviennnt plus mondaines et plus appropriées pour la vie de l’homme. Sur le plan de la philosophie, l’attitude à douter de la tradition fait que le rationalisme se développe. Sur le plan de la société et la culture, Voltaire estime que le système de castes et le système de classes sont injustes. Il essaie de lutter contre ce phénomène injuste qui interdit le mariage entre classes ou castes différentes. L’égalité devient une reconnaissance pour l’homme. Le voyage devient à la mode pour l’intellectuel. Les édifices publics élevés font la vie des villes plus complexe. Les salons et l’université deviennent un endroit pour introduire des connaissances nouvelles. Ceux qui participent à ces réunions, ne se limitent pas à la noblesse. Cela reflète la généralisation des connaissances en Europe. Les auteurs aiment utiliser les personnages fictifs pour exprimer leurs idées à ce moment. La Section deux discute de l’influence de Candide au dix-neuf siècle. Sur le plan du régime, il y a le conservatisme qui représente le vieux régime en Europe, le libéralisme qui représente la pensé nouvelle et le nationalisme. Sur le plan de la litérature, il y a le romantisme contre le rationalisme, et puis il y a le réalisme contre le romantisme. La Section trois, discute l’influence au vingtième siècle. Il n’est donc pas étonnant que Candide ait influencé Charlot soldat de Charlie Chaplin (1918) et les premières pages du Voyage au bout de la nuit (1932) ou de Casse-pipe (1952) de Louis-Ferdinand Céline. Au début de ce film muet et de ces deux romans, un jeune homme naïf découvre les horreurs de la guerre. L’influence dans le style journalistique. Candide est le modèle d’un grand reportage sur l’actualité mondiale, une chronique du Paris mondain et littéraire, avec des interviews d’un grand nombre de souverains détrônés L’influence au cinéma. La grande trouvaille du Voltaire humoriste : c’est l’accumulation de désastres à toute vitesse. Aujourd’hui, c’est le rythme qui est beaucoup plus apprécié dans Candide, comme dans le cinéma comique. L’influence en littérature. En littérature, les héritiers directs de Voltaire et de Candide sont, sans doute, Anatole France, Marcel Aymé et Jules Renard, qui allièrent fiction plaisante et satire mordante. Le premier écrit ainsi un pamphlet contre la guerre (L’île des Pingouins, 1908) et un réquisitoire sarcastique contre l’intolérance (Les Dieux ont soif, 1912). Le dernier chapitre est la conclusion. On n’oublie pas l’opinion philosophique de Voltaire dans les temps actuels. Il y a encore beaucoup de gens qui lisent ses oeuvres, qui recourent à son opinion. Plus la situation est trouble, plus la vérité est claire. La valeur de Voltaire s’éleve. La contribution de Voltaire à ouvrir l’intelligence de l’homme ne peut pas être effacée. Dans l’époque moderne, il est facile de perdre son but pour la vie à cause de l’environnement. Certains suivent la mode. Certains se plongent dans le vin et le désir charnel. Ces habitudes nous font de plus en plus tomber. Alors que nous nous réveillons, le temps précieux est passé. Voltaire dit: le travail éloigne de nous trois grands maux : l’ennui, le vice et le besoin. On se dévoue au travail qu’on adore. On se contente du résultat du travail. On travaille pour gagner le besoin essentiel de la vie. Tout cela nous permet d’éloigner les maux. Dans le livre Candide, Voltaire dit cette parole comme une fin. Il faut cultiver notre jardin. Il ne nous encourage pas à suivre la supériorité. Chaque boulon de la machine sociale a sa fonction.
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