Autor: |
S Bane, Y Cissoko, B Diarra, N Sogoba, M Diakité, S Dao |
Jazyk: |
francouzština |
Rok vydání: |
2018 |
Předmět: |
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Zdroj: |
Revue Malienne d’Infectiologie et de Microbiologie, Vol 2, Iss 2 (2018) |
Druh dokumentu: |
article |
ISSN: |
1987-0876 |
DOI: |
10.53597/remim.v2i2.1200 |
Popis: |
Nous assistons de plus en plus à l'émergence de certaines maladies, comme les fièvres hémorragiques virales (FHV). Certaines de ces maladies se transmettent de personne à personne par contact direct ou indirect avec des patients symptomatiques. Les vecteurs ou les réservoirs sont des moyens de transmission faciles pour ces fièvres hémorragiques virales. La fièvre de Lassa, a été révélée au Mali en 2009 chez l'homme. Depuis plusieurs études ont été menées sur les rongeurs avec une séroprévalence qui atteint parfois 50% au sud du Mali. Chez l'homme, la prévalence allait de 14,5 à 44% et une incidence de 6,3%. Pour la Fièvre Hémorragique de Crimée Congo, les auteurs ont retrouvés une séroprévalence humaine de 4,5%. Chez les bovins, des traces sérologiques ont été retrouvées dans tout le pays allant de 15% à 95%. Le Mali a connue deux incursions séparées de la Maladie à virus Ebola à partir de la Guinée Conakry. Le diagnostic des 103 échantillons de cas suspects a été réalisé au Laboratoire SEREFO/UCRC avec 10 cas positif au virus Ebola. La dengue était présente avec une séroprévalence allant de 40% à 93%. Un cas humain de la Fièvre de la Vallée du Rift a été identifié au Mali en 2017, mais la maladie est présente chez les bovins surtout dans les régions septentrionales du pays. Le diagnostic a été réalisé surtout par la méthode ELISA (recherche d'IgG ou d'IgM). La biologie moléculaire a été utilisée dans certains cas |
Databáze: |
Directory of Open Access Journals |
Externí odkaz: |
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