Autor: |
Anne Esther Njom Nlend, Cécile Zeudja, Annie Nga Motaze, Moyo Suzie1, Nsoa Lydie |
Jazyk: |
English<br />French |
Rok vydání: |
2015 |
Předmět: |
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Zdroj: |
The Pan African Medical Journal, Vol 20, Iss 321 (2015) |
Druh dokumentu: |
article |
ISSN: |
1937-8688 |
DOI: |
10.11604/pamj.2015.20.321.5289 |
Popis: |
L'objectif est de notre étude de décrire la typologie de la prématurité et mesurer la survie hospitalière à court terme des grands et extrêmes prématurés dans un pays à ressources limitées (PRL). C'est une étude descriptive rétrospective. Données extraites du registre des admissions du service. Inclusions de tous les nouveau-nés admis dans le service durant la période, ayant un âge gestationnel annoncé d" 36 semaines et 6 jours et plus de 26SA, avec au moins deux paramètres présents : âge gestationnel et poids de naissance. Principaux paramètres mesurés: pourcentage de nouveau-nés sortants vivants selon le type de prématurité : tardive, grande ou extrême. Nous avons recensé 1015 prématurés dont 314 grands prématurés (GP) et 61 extrêmes prématurés (EP). Le taux de nouveau-nés sortant vivants était de 95% chez les prématurés tardifs, de 71% chez les grands prématurés et de moins de 23% chez les extrêmes prématurés. Avant 28 semaines, le taux de mortalité était de prés de 100% chez les grands ou extrêmes prématurés de moins de 1000g contre 64% chez les plus de 1000g. Chez les GP le taux de décès était de 13% chez les nés par césarienne vs 21% chez ceux nés par voie basse (pd"0,01). Le taux de prématurité médicalement induite était faible dans l'ensemble et de 3% chez les prématurés extrêmes. En conclusion le taux de mortalité hospitalière des EP est préoccupant, le faible taux de prématurité médicalement induite urge au renforcement de la prévention et à la mise en place de collaboration obstétrico-pédiatrique. |
Databáze: |
Directory of Open Access Journals |
Externí odkaz: |
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