Hormonal response after masturbation in young healthy men – a randomized controlled cross-over pilot study

Autor: Eduard Isenmann, Moritz Schumann, Hannah L. Notbohm, Ulrich Flenker, Philipp Zimmer
Jazyk: angličtina
Rok vydání: 2021
Předmět:
Zdroj: Basic and Clinical Andrology, Vol 31, Iss 1, Pp 1-7 (2021)
Druh dokumentu: article
ISSN: 2051-4190
DOI: 10.1186/s12610-021-00148-2
Popis: Résumé Contexte Les hormones comme la testostérone jouent un rôle crucial dans l’amélioration des performances et dans la croissance musculaire. Par conséquent, diverses tentatives pour augmenter la libération de testostérone et la concentration de testostérone ont été faites, en particulier dans le contexte de l’entraînement à la résistance. Chez les praticiens, l’activité sexuelle (le coït et la masturbation) quelques heures avant l’entraînement est souvent évoquée comme induisant une augmentation de la concentration de testostérone et favorisant ainsi la croissance musculaire. Il n’existe, cependant, aucune preuve à l’appui de cette hypothèse et la cinétique de la réponse de la testostérone et du cortisol après l’activité sexuelle n’a pas été étudiée de manière adéquate. Par conséquent, l’objectif de cette étude pilote était d’examiner la cinétique des concentrations hormonales de testostérone totale, de testostérone libre et de cortisol et de leurs ratios après la masturbation. Dans une étude croisée à trois bras en simple aveugle, les effets de la masturbation avec stimulus visuel ont été comparés à un stimulus visuel sans masturbation et à la cinétique naturelle chez des hommes jeunes en bonne santé. Résultats Les résultats ont montré, pour les concentrations de testostérone libre, une différence significative entre les conditions. La masturbation (p < 0,01) et un stimulus visuel (p < 0,05) pourraient sembler contrecarrer la baisse circadienne des concentrations de testostérone libre au cours de la journée. Cependant, aucun changement statistique n’a été observé dans les ratios entre la testostérone totale, la testostérone libre et le cortisol. Conclusion On peut supposer que la masturbation peut avoir un effet potentiel sur la testostérone libre mais pas sur les ratios hormonaux. D’autres études, avec des échantillons de plus grande taille, sont cependant nécessaires pour valider ces résultats.
Databáze: Directory of Open Access Journals