Sur les traces de Méndez : l’humour dans l’œuvre de Ledesma
Autor: | Juan Luis Muñoz Lafitez |
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Jazyk: | English<br />Spanish; Castilian<br />French<br />Italian<br />Romanian; Moldavian; Moldovan |
Rok vydání: | 2012 |
Předmět: | |
Zdroj: | Recherches, Vol 9, Pp 269-283 (2012) |
Druh dokumentu: | article |
ISSN: | 1968-035X 2803-5992 |
DOI: | 10.4000/cher.11893 |
Popis: | État d’esprit, personnalité et bagage culturel individuel. Rien de plus subjectif que l’humour. En effet, ce qui est humoristique pour les uns ne l’est pas forcément pour les autres. En revanche, il est indéniable que l’humour comporte une fonction sociale permettant de montrer les dysfonctionnements de la société en critiquant ses aspects négatifs ; c’est pourquoi il est capable de devenir l’un des meilleurs moyens de contestation sociale. Humour, roman policier et modèles littéraires classiques. Voici les trois notions que nous allons étudier dans cet article sur la dernière œuvre de Francisco González Ledesma, No hay que morir dos veces. Notre but n’est autre que d’en déterminer les sources dans la littérature classique espagnole afin de savoir si nous pouvons parler d’un humour dit « à l’espagnole » dans les histoires de l’écrivain barcelonais. |
Databáze: | Directory of Open Access Journals |
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