Evaluation of the Impact of an Echocardiographic Diagnosis of Pulmonary Hypertension on Patient Outcomes

Autor: Ping Yu Xiong, MD, Zardasht Jaff, MD, Christine L. D’Arsigny, MD, Stephen L. Archer, MD, Don Thiwanka Wijeratne, MD
Jazyk: angličtina
Rok vydání: 2020
Předmět:
Zdroj: CJC Open, Vol 2, Iss 5, Pp 328-336 (2020)
Druh dokumentu: article
ISSN: 2589-790X
DOI: 10.1016/j.cjco.2020.04.001
Popis: Background: Although detection of elevated right ventricular systolic pressure (RVSP) on routine echocardiography is common, its clinical significance is underappreciated. The recent change in the hemodynamic definition of pulmonary hypertension (PH) lowering the threshold from mean pulmonary arterial pressure ≥ 25 mm Hg to > 20 mm Hg further clouds the picture. Methods: A retrospective cohort study was performed on residents of the South East Local Health Integration Network (population 495,000), Ontario, Canada, who underwent transthoracic echocardiography at the Kingston Health Sciences Centre between February 19, 2013, and December 31, 2016. The index echocardiography from 9291 unique patients was obtained. Results: A total of 2049 patients (22.1%) had an RVSP ≥ 40 mm Hg, 2040 patients (22.0%) had an RVSP ≥ 30 and < 40 mm Hg, but only 284 patients (3.1%) had a clinical diagnosis of PH. Although patients with an RVSP ≥ 40 mm Hg had the highest Charlson Comorbidity Index (CCI) (1.81 ± 0.05) and number of hospitalizations 1 year before the echocardiography (1.24 ± 0.03), patients with RVSP between 30 and 40 mm Hg also had significantly higher CCI (1.19 ± 0.04) and hospitalization (0.87 ± 0.03) compared with the CCI (0.84 ± 0.03) and hospitalization (0.65 ± 0.02) of patients with RVSP < 30 mm Hg (P < 0.0001). Conclusion: Despite the finding that an elevated RVSP ≥ 30 mm Hg is common and predicts adverse outcomes, most patients with elevated RVSP are not reported as having PH or investigated. The significance of the elevated RVSP is underappreciated. Résumé: Contexte: Bien qu’une pression systolique ventriculaire droite (PSVD) élevée soit fréquemment mise en évidence au cours d’une échocardiographie systématique, sa portée clinique s’avère sous-estimée. La modification récente de la définition hémodynamique de l’hypertension pulmonaire (HP), faisant passer le seuil de la pression artérielle pulmonaire moyenne de ≥ 25 mmHg à > 20 mmHg, embrouille davantage la situation. Méthodologie: Une étude rétrospective a été réalisée au sein d’une cohorte de résidents du territoire du Réseau local d’intégration des services de santé du Sud-Est (population de 495 000 personnes) de l’Ontario (Canada) ayant subi une échocardiographie transthoracique au Centre des sciences de la santé de Kingston entre le 19 février 2013 et le 31 décembre 2016. L’échocardiographie de référence de 9 291 patients différents a été obtenue. Résultats: La PSVD était ≥ 40 mmHg chez 2 049 patients (22,1 %) et ≥ 30 et < 40 mmHg chez 2 040 patients (22,0 %), mais un diagnostic clinique d’HP n’avait été posé que chez 284 patients (3,1 %). L’indice de comorbidité de Charlson (ICC) le plus élevé (1,81 ± 0,05) et le plus grand nombre d’hospitalisations un an avant l’échocardiographie (1,24 ± 0,03) ont été notés chez les patients qui présentaient une PSVD ≥ 40 mmHg; néanmoins, les valeurs de ces paramètres se sont aussi révélées significativement plus élevées chez les patients affichant une PSVD allant de 30 à 40 mmHg (ICC : 1,19 ± 0,04; hospitalisations : 0,87 ± 0,03) comparativement aux patients présentant une PSVD < 30 mmHg (ICC : 0,84 ± 0,03; hospitalisations : 0,65 ± 0,02) (p < 0,0001). Conclusion: Malgré le fait qu’une PSVD élevée (≥ 30 mmHg) soit d’observation courante et prédictive de résultats cliniques défavorables, la plupart des cas ne sont pas signalés en tant que manifestation d’HP et ne font l’objet d’aucune investigation. La portée d’une PSVD élevée s’avère sous-estimée.
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