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Our objective was to examine the associations between recreational and non-recreational physical activity with mental health outcomes among Canadian youth aged 12-17.Cross-sectional data from the 2015/2016 Canadian Community Health Survey was used for analysis. Physical activity was classified as either recreational or non-recreational. Both types of physical activity were categorized using the Canadian Physical Activity Guidelines. Mental health outcomes included the Patient Health Questionnaire-9 (PHQ-9) scale dichotomized with 5+ and 10+ cut-offs, self-perceived mental health, and self-reported professionally diagnosed mood and anxiety disorders. Descriptive statistics (proportions with 95% confidence intervals), and multivariable logistic regression were used in the analysis.It was found 21.20% of youth were not participating in recreational physical activity and 40.97% were engaging in below guideline recreational physical activity. No activity, or below guideline recreational physical activity was associated with negative mental health. Non-recreational physical activity models were generally non-significant. Additionally, it was determined that associations between recreational physical activity and PHQ-9 score were only evident in males. For the no activity and below guideline activity levels the odds ratios (ORs)=2.57 and 3.19 for males and OR=0.95 and 0.96 for females, respectively.Recreational physical activity is associated with youth mental health (particularly in males), but non-recreational physical activity is not consistently associated. While the data are cross-sectional and cannot support causal inference, these results highlight the potential importance of accessible recreational physical activity programs. Further, these results may inform guidelines about types of youth physical activity and their apparent mental health benefits.Notre objectif était d’examiner les associations entre l’activité physique récréative et non récréative et les résultats de santé mentale chez les adolescents canadiens de 12 à 17 ans.Les données transversales de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes de 2015–2016 ont servi à l’analyse. L’activité physique était classée récréative ou non récréative. Les deux types d’activité physique ont été répartis en catégories selon les Lignes directrices canadiennes en matière d’activité physique. Les résultats de santé mentale comportaient le Questionnaire sur la santé du patient-9 (QSP-9), une échelle dichotomisée avec 5+ et 10+ seuils d’inclusion, la santé mentale auto-perçue, et les troubles de l’humeur et anxieux diagnostiqués professionnellement et auto-déclarés. Les statistiques descriptives (les proportions ayant des intervalles de confiance à 95 %) et la régression logistique multivariée ont été utilisées dans l’analyse.Il a été constaté que 21,20 % des adolescents ne participaient pas à des activités physiques récréatives et que 40,97 % s’adonnaient à des activités physiques récréatives inférieures aux lignes directrices. Aucune activité ou des activités physiques récréatives inférieures aux lignes directrices étaient associées à une santé mentale négative. Les modèles d’activité physique non récréative étaient généralement non significatifs. En outre, il a été déterminé que les associations entre l’activité physique récréative et le score au QSP-9 n’étaient manifestes que chez les garçons. Pour l’absence d’activité et les niveaux d’activité inférieurs aux lignes directrices, les rapports de cotes (RC) = 2,57 et 3,19 pour les garçons et RC = 0,95 et 0,96 pour les filles, respectivement.L’activité physique récréative est associée à la santé mentale des adolescents (particulièrement chez les garçons), mais l’activité physique non récréative n’est pas associée constamment. Bien que les données soient transversales et qu’elles ne puissent soutenir une inférence causale, ces résultats soulignent l’importance potentielle de programmes accessibles d’activité physique récréative. De plus, ces résultats peuvent éclairer les lignes directrices au sujet des types d’activités physiques des adolescents et de leurs avantages apparents pour la santé mentale. |