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A l'aube de la Renaissance, si les chemins valaisans du Grand-Saint-Bernard ne sont plus aussi fréquentés qu'autrefois, et si les auteurs de chorographies pour la plupart, ne localisent plus autour d'Agaune les « sommets des Alpes », la circulation marchande en direction du Simplon demeure assez forte pour entretenir à Saint-Maurice, comme le notait J. Stumpf, « de bonnes auberges et des dépôts considérables ». Ces auberges n'accueillent pas seulement des muletiers, mais, selon Aymar du Rivai... |