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Grosfoguel habla acerca de la colonialidad del poder y de la posibilidad de una política radical más allá de las políticas de la identidad y de la articulación de un discurso crítico que supere el nacionalismo y el colonialismo. Propone superar los paradigmas de la economía política y los estudios culturales. Parte del criterio que colonialidad y modernidad son dos caras de la misma moneda y sintetiza la crítica a la epistemología eurocéntrica hegemónica, que asume un punto de vista universalista, neutral y objetivo. La solución a las desigualdades sociales globales requiere imaginar alternativas utópicas más allá del colonialismo y el nacionalismo, y de las formas de pensar binarias de los fundamentalismos eurocéntricos primermundistas y tercermundistas. Propone con Quijano la socialización del poder, y su aporte remite a un lenguaje crítico común descolonizador. Grosfoguel évoque la colonialité du pouvoir et la possibilité d’une politique radicale dépassant les politiques de l’identité permettant l’articulation d’un discours critique qui surmonte le nationalisme et le colonialisme. Il propose de dépasser les paradigmes de l’économie politique et des études culturelles. Il part du critère que la colonialité et la modernité sont les deux faces d’une même monnaie et résume la critique sur l’épistémologie eurocentrique hégémonique, laquelle assume un point de vue universaliste, neutre et objectif. La solution face aux inégalités sociales mondiales implique d’imaginer des alternatives utopiques au-delà du colonialisme et du nationalisme, et des formes de pensée binaires des fondamentalismes eurocentriques du premier monde et du tiers-monde. Il propose, de concert avec Quijano, la socialisation du pouvoir et sa contribution renvoie à un langage critique commun décolonisateur. Grosfoguel talks about coloniality of power and the possibility of a radical politics beyond the politics of identity and of articulation of a critical speech that surpass nationalism and colonialism. It proposes to surpass the paradigms of political economy and cultural studies. It starts from the criterion that coloniality and modernity are two faces of the same currency and synthesizes the criticism to eurocentric hegemonic epistemology, that assumes a universalistic point of view, neutral and objective. The solution to global social inequalities requires to imagine utopian alternatives beyond colonialism and nationalism, and of the binary ways of thought of the first world and third world eurocentric fundamentalisms. It proposes, along with Quijano, the socialization of power, and his contribution refers to a common decoloniazing critical language. |