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Il est rare qu’un programme d’agrégation invite à une réflexion groupée sur deux auteurs de siècles voisins : avec Marot et La Fontaine, le marotique s’imposait. Le terme lui-même dans son fonctionnement syntaxique appelle quelques remarques. Sa première attestation en 1585 sous la plume de F. Feuardent (1539-1610), prédicateur cordelier et ligueur, en fait un adjectif déterminatif, permettant de « classer » les œuvres et de noter leur appartenance à un suspect calviniste. Mais « marotique »,... |