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Dans la présente communication, je voudrais traiter du Genjimonogatari, ou « Le Dit du Genji » dans la traduction de René Sieffert, roman écrit par une femme surnommée Murasaki-shikibu au début du XIe siècle. Si je traite de ce roman, c’est justement parce que son auteur, me semble-t-il, est vivement conscient de l’inintelligibilité de l’autre et utilise habilement celle-ci afin de composer diverses intrigues. Ce roman-fleuve, composé de 54 livres, comprend trois parties. Hikaru-Genji est le ... |
