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En 1907, Joan Maragall, poète barcelonais amoureux de sa ville, écrivait : « Pauvre Barcelone !... Il est pénible de te voir si morne et abattue. Les grandes émeutes ne te conviennent plus, celles où les places se noircissent et où les épées brillent, où les portes claquent et où les foules crient, courent... et parfois rient de terreur, à grands éclats un peu hystériques ; celles où les rues restent absolument désertes au passage des patrouilles, et où les places, encerclées par les soldats,... |