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I. Introduction Après avoir repéré et étudié rapidement quelques matrices en arabe, il nous est possible d’approfondir ce concept, de préciser sa nature et sa place. Dans le chapitre précédent et dans les travaux antérieurs (Bohas 1995, 1997, 2000), avait été explorée l’hypothèse selon laquelle le lexique arabe en particulier (sémitique en général) pouvait être ramené à un nombre fini de structures morphosémantiques : les matrices de traits. Cela n’aboutit pas seulement à une description plus... |
