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L’écriture de la sexualité – ou des sexualités – a longtemps été l’apanage du domaine médical, incluant la psychologie. C’est dire à quel point elle était restreinte – et balisée : les prescriptions qui traversaient ces discours enjoignaient au « bon » sexe, dont Gayle Rubin rappelle le denotatum : « la sexualité qui est “bonne”, “normale” et “naturelle” devrait idéalement être hétérosexuelle, conjugale, monogame, procréatrice et non commerciale. Elle doit s’exercer à l’intérieur d’un couple ... |