APEPSGuad Study: Physical activity and sedentarity level of low-income adults presenting at exam centers of Guadeloupe
Autor: | Didier, Audrey |
---|---|
Přispěvatelé: | BHU, Pointe à Pitre, Université des Antilles - UFR des sciences médicales Hyacinthe Bastaraud (UA UFR SM), Université des Antilles (UA), Franciane Gane-Troplent |
Jazyk: | francouzština |
Rok vydání: | 2018 |
Předmět: |
Pauvreté -- Guadeloupe
Exercices physiques -- Guadeloupe [SDV.MHEP] Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology MESH: Sédentarité -- Guadeloupe Sédentarité -- Guadeloupe MESH: Activité motrice -- Guadeloupe Activité sportive adaptée -- Guadeloupe [SDV.MHEP]Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology |
Zdroj: | Médecine humaine et pathologie. 2018 |
Popis: | Introduction : Increased physical activity and the decrease in a sedentary lifestyle are the major health issues that would make it possible to fight many of the pathologies to which the citizens of Guadeloupe are particularly exposed. Since these behaviors have yet to be assessed, it was the objective of this study to do so.Material and method :This is an observational and cross sectional study of a sample of 512 adults presenting at the Abymes or Basse-Terre exam centers. The data was collected using questionnaires that the individuals filled out on their own. The resulting IPAQ scores were used to assess their level of physical activity, as well as their individual sedentary lifestyles. They were also provided information on sporting activities and evaluated the use of secured fitness trail (P3S).Results : In Guadeloupe, 58.6% of adults in precarious situations assessed had a physical activity favorable to good health. A lesser sampling of 41.4% had a level lower than recommended. There were 54.9% of the individuals tested that had a moderate level of sedentary activity, spending 3-7 hours sitting per day; while 19.8% had a high levelof more than 7 hours per day. Almost half of the participants (49.7%) reported participating in sports. There were 86.4% of tested individuals that knew about P3S, but only 27.4% used it.Inactive participants had a profile of being young, obese, perceiving their health to be less good, and being more sedentary than the other tested individuals. Women were less likely to engage in physical activity and they had less participation in sports.Conclusion :The level of physical activity in the tested adults of Guadeloupe is close to that observed in the general population. The sedentary lifestyle appears to be lower except for young people. Public health actions must be pursued to support access to sports, promote P3S and the prescription of sports, in order to optimize the prevention of health problems among the citizens of Guadeloupe. Introduction : L’activité physique et la sédentarité sont des enjeux majeurs de santé publique. Elles permettent de lutter contre de nombreuses pathologies auxquelles les personnes en situation de précarité sont particulièrement exposées. En Guadeloupe, les comportements vis-à-vis de ces indicateurs sont méconnus. L’objectif de cette étude était d’évaluer le niveau d’activité physique et de sédentarité des adultes en situation de précarité.Matériel et méthode : Il s’agit d’une étude observationnelle, transversale sur un échantillon de 512 adultes se présentant aux centres d’examens des Abymes ou de Basse-Terre, avec un score de précarité EPICES supérieur à 30. Le recueil de données a été effectué par un auto-questionnaire intégrant le score IPAQ. Il renseignait la pratique d’une activité sportive et évaluait l’utilisation des parcours sportifs de santé sécurisés (P3S).Résultats : 58,6% des adultes guadeloupéens en situation de précarité avaient une activité physique favorable à la santé. 41,4% avaient un niveau bas, inférieur aux recommandations. 54,9% avaient un niveau de sédentarité modéré en passant 3 à 7 heures assis par jour et 19,8% un niveau élevé avec plus de 7 heures. 49,7% des participants déclaraient faire du sport. 86,4% des personnes connaissaient les P3S mais seulement 27,4% les utilisaient. Les personnes « précaires »physiquement inactives avaient comme profil d’être jeunes, obèses, de percevoir leur santé moins bonne et d’être plus sédentaires. Les femmes pratiquaient moins souvent une activité physique apportant des bénéfices supplémentaires pour la santé et faisaient moins de sport.Conclusion : Le niveau d’activité physique des adultes en situation de précarité en Guadeloupe est proche de celui observé en population générale guadeloupéenne et métropolitaine. La sédentarité apparaît moindre sauf chez les jeunes. Des actions de santé publique doivent être poursuivies pour favoriser l’accès au sport, plébisciter les P3S et encourager la prescription du sport sur ordonnance, afin d’optimiser la prévention auprès des personnes en situation de précarité. |
Databáze: | OpenAIRE |
Externí odkaz: |