Autor: |
Mustin, Pierre |
Přispěvatelé: |
AGROCAMPUS OUEST, Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro), Institut national de la recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Inrae), Unité de recherches Pathologie végétale, Équipe virologie, domaine Saint-Maurice, 67 allée des chênes, 84140 Avignon, Alexandre Degrave, Loup Rimbaud |
Jazyk: |
angličtina |
Rok vydání: |
2020 |
Předmět: |
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Zdroj: |
Life Sciences [q-bio]. 2020 |
Popis: |
Plant resistance to viruses can target different stages of the virus cycle like the inoculation, the accumulation and cell to cell movement, the systemic colonization and the virus ingestion by a vector. Among them, virus accumulation in plants can be inhibited or diminished by different resistance mechanisms. Even if they are well characterized at the molecular level, the evaluation of the phenotypic expression of these resistances requires the development of specific methods. Based on the pathosystem pepper-Potato virus Y (PVY), this work relies on 3 methods for the quantitative measure of virus accumulation in plants: ELISA, RT-qPCR and fluorescence imaging. The major result is the identification of a significant correlation between the proportion of fluorescent surface area measured by fluorescent imaging (and linked to the expression of a GFP protein stuck on the virus) and the concentration of coat proteins measured by semi-quantitative ELISA. In addition, the use of fluorescent imaging (a non-destructive method) allowed the monitoring of viral accumulation in different pepper accessions and highlighted contrasted kinetics in a susceptible and a resistant cultivar.; La résistance des plantes aux virus peut cibler différentes étapes du cycle du virus, comme l'inoculation, l'accumulation et le mouvement de cellule à cellule, la colonisation systémique et l’acquisition par un vecteur. Parmi celles-ci, l'accumulation de virus dans les plantes peut être inhibée ou diminuée par différents mécanismes de résistance. Même si elles sont bien caractérisées au niveau moléculaire, l'évaluation de l'expression phénotypique de ces résistances nécessite le développement de méthodes spécifiques. Basé sur le pathosystème piment-Potato virus Y (PVY), ce travail s'appuie sur 3 méthodes de mesure quantitative de l'accumulation des virus dans les plantes : l’ELISA, la RT-qPCR et l’imagerie par fluorescence. Le résultat principal est l’identification d'une corrélation significative entre la proportion de surface fluorescente mesurée par imagerie fluorescente (et liée à l'expression de la protéine GFP accolée au virus) et la concentration de protéines de capside mesurée par ELISA semi-quantitative. En outre, l'utilisation de l'imagerie fluorescente (une méthode non destructive) a permis de suivre l'accumulation virale dans différentes accessions de piments et a mis en évidence une cinétique contrastée chez une variété sensible et une variété résistante. |
Databáze: |
OpenAIRE |
Externí odkaz: |
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