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The study draws on a relational and intersectional approach to young children’s belonging in Finnish educational settings. Belonging is conceptualized as a multilevel, dynamic, and relationally constructed phenomenon. The aim of the study is to explore how children’s belonging is shaped in the intersections between macro-, meso-, and micro-levels of young children’s education in Finland. The data consist of educational policy documents and ethnographic material generated in educational programs for children aged birth to 8 years. A situational mapping framework is used to analyze and interpret the data across and within systems levels (macro-level; meso-level; and micro-level). The findings show that the landscape in which children’s belonging is shaped and the intersections across and within the levels are characterized by the tensions between similarities and differences, majority and minorities, continuity and change, authority and agency. Language used, practices enacted, and positional power emerge as the (re)sources through which children’s (un)belonging is actively produced. Résumé L’étude s’appuie sur une approche relationnelle et intersectionnelle de l’appartenance chez de jeunes enfants dans des contextes éducatifs finlandais. L’appartenance est conceptualisée comme un phénomène à plusieurs niveaux, dynamique, et construit de manière relationnelle. L’objectif de cette étude est d’explorer comment l’appartenance chez les enfants est façonnée dans les intersections entre les niveaux macro, méso et micro de l’éducation des jeunes enfants en Finlande. Les données sont composées de documents de politique éducative et de matériel ethnographique générés dans des programmes éducatifs pour des enfants de la naissance à l’âge de 8 ans. Un cadre de cartographie situationnelle sert à analyser et interpréter les données à travers et à l’intérieur des niveaux des systèmes (niveau macro, niveau méso et niveau micro). Les résultats montrent que le contexte dans lequel l’appartenance des enfants est façonnée ainsi que les intersections à travers et à l’intérieur des niveaux se caractérisent par les tensions entre similitudes et différences, majorité et minorités, continuité et changement, autorité et capacité d’agir. Le langage utilisé, les pratiques mises en œuvre et le pouvoir de position apparaissent comme les (res)sources par lesquelles l’appartenance (ou non) des enfants est activement produite. |