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Dans ce tome IV, James E. LYNN a pris de la hauteur et de la distance par rapport aux processus suivis presque au jour le jour et décrits dans les tomes I et II de l'étude demandée par le PIREN (programme interdisciplinaire de recherche sur l'environnement) à C. Barrier. Il les a interprétés et expliqués ni en juriste, ni en économiste, mais en philosophe des histoires culturelles anglaise et allemande. Il a montré beaucoup de compréhension (sinon de capacité d'identification) à l'égard et des industriels et de chaque catégorie de scientifiques distingués par C. Barrier. Celle-ci, très consciente des difficultés de la vulgarisation, et des inévitables risques de déformation des messages au cours de leur transmission et diffusion, surtout s'ils sont complexes, revient sur le rôle et l'importance des leaders d'opinion informels dans les campagnes d'opinion (indispensables à l'évolution des politiques d'environnement) et ajoute ses propres points de vue à ceux de Katz et Lazarsfeld (cf. personal influences, 1955). Elle ajoute ses remarques d'ordre épistémologique sur les démarches sociologiques dominantes en France jusque vers l'an 2000, sur ce qui lui apparaît comme des bornes et des lacunes, en souhaitant qu'il soit accordé plus d'attention aux processus irréversibles et à ceux non transférables d'un contexte historico-culturel à d'autres. |