Logement des pauvres, médiation politique et contrôle urbain à Mumbai (Inde)
Autor: | Djallal Gérard Heuzé |
---|---|
Přispěvatelé: | Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST), École des hautes études en sciences sociales (EHESS)-Université Toulouse - Jean Jaurès (UT2J)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-École Nationale Supérieure de Formation de l'Enseignement Agricole de Toulouse-Auzeville (ENSFEA) |
Jazyk: | francouzština |
Rok vydání: | 2003 |
Předmět: |
logement
060101 anthropology milieux populaires 010201 computation theory & mathematics 0601 history and archaeology 0102 computer and information sciences 06 humanities and the arts General Medicine Inde [SHS.ANTHRO-SE]Humanities and Social Sciences/Social Anthropology and ethnology 01 natural sciences Mumbai désindustrialisation |
Zdroj: | Autrepart-revue de sciences sociales au Sud Autrepart-revue de sciences sociales au Sud, Presses de Sciences Po (PFNSP), 2003, pp.153-167 Autrepart-Revue de sciences sociales au Sud Autrepart-Revue de sciences sociales au Sud, Presses de Sciences Po (PFNSP), 2003, pp.153-167 |
ISSN: | 1278-3986 2109-9561 |
Popis: | L’Inde a un taux bas d’urbanisation tout en abritant des concentrations urbaines remarquables. En partant de l’exemple de la metropole de Mumbai, la contribution s’attache a decrire comment les hommes politiques et certains industriels ont facilite la perennisation de situations chaotiques dans lesquelles les migrants, legalement insecurises, se voyaient toleres et parfois encourages dans leurs efforts d’autoconstruction. L’evolution du contexte industriel, financier et immobilier, associee a la liquidation du mouvement ouvrier, a change la donne. Les emeutes intercommunautaires ont succede aux greves, les partis extremistes aux centristes et les reseaux mafieux aux syndicalistes, pendant que les hommes politiques suivaient, avec reticence, le mouvement de liberalisation economique et du « nettoyage urbain ». |
Databáze: | OpenAIRE |
Externí odkaz: |