Results From a Physical Activity Intervention Feasibility Study With Kidney Inpatients

Autor: Kathryn Wytsma-Fisher, Manuel Ester, Stefan Mustata, Theresa Cowan, S. Nicole Culos-Reed
Rok vydání: 2021
Předmět:
Zdroj: Canadian journal of kidney health and disease. 9
ISSN: 2054-3581
Popis: Individuals with end-stage kidney disease requiring dialysis are often physically inactive, resulting in reduced physical functioning, increased frailty, and reduced quality of life. Furthermore, extended hospital stays and frequent readmissions are common, exacerbating health care costs. Physical activity may improve physical functioning, disability, and frailty but is not part of standard care of patients requiring dialysis. Research is required to determine the feasibility of implementing physical function assessments and physical activity programs in kidney inpatients requiring dialysis.To assess the feasibility and preliminary efficacy of an early-physical activity intervention (Move More study) in the care of kidney inpatients requiring dialysis. It was hypothesized that the intervention would be feasible with regards to administration and participation, meetingPilot study.Patient Unit 37, Foothills Medical Center, Calgary, AB, Canada.Kidney in-patients receiving dialysis.Feasibility data were collected for recruitment, participation, assessment completion, physical activity completion, and adverse events. Participant and healthcare practitioner (HCP) satisfaction with the intervention was assessed using a questionnaire. Frailty and physical function were assessed by the kinesiologist at baseline and postintervention prior to hospital discharge.The study was a single-arm pilot intervention examining feasibility and preliminary efficacy. Kidney inpatients requiring dialysis were recruited to an individualized in-hospital physical activity intervention for the duration of their hospital stay. The intervention was led by a kinesiologist and supported by the clinical care team, including physiotherapists and nurse clinicians. Individualized exercise programs were created for patients to perform daily during their stay. These programs focused on strength, mobility, balance, and general movement and were tailored to each patient's needs.Thirty-six percent of eligible patients (n = 23/64) consented to participate in the Move More study, of whom 78% (n = 18/23) completed the intervention. TheFirstly, as a feasibility study, the research was not powered to address the effectiveness of the intervention and lacked a comparison group to definitively link observed changes to the intervention itself. The voluntary nature of recruitment may have been biased toward ESKD inpatients with above-average motivation and baseline function. Furthermore, the small sample size from a single site limits the generalizability of findings. An additional limitation was the fact that postassessments were missed on a large number of patients, due to them being discharged prior to research staff knowing and being able to complete the assessments. Finally, studying the length of stay across the institution, as opposed to just the individual ward, would provide insight into hospitalization impact for these patients.The administration of and participation in a physical activity intervention for kidney inpatients requiring dialysis was initially not feasible primarily due to low recruitment and adherence challenges. The study was modified by including a research team member on the unit to increase recruitment efforts and support exercise adherence. The intervention impact includes potentially benefits on frailty and quality of life.Les personnes atteintes d’insuffisance rénale terminale (IRT) nécessitant une dialyze sont souvent inactives physiquement, ce qui entraîne une réduction du fonctionnement physique, une fragilité accrue et une diminution de la qualité de vie. De plus, les séjours prolongés à l’hôpital et les réadmissions fréquentes sont courants chez ces patients, ce qui accroît les coûts des soins de santé. L’activité physique peut améliorer le fonctionnement physique et réduire les incapacités et la fragilité, mais elle ne fait pas partie des soins courants prodigués aux patients nécessitant une dialyze. Des recherches sont nécessaires pour déterminer la faisabilité de la mise en œuvre d’évaluations du fonctionnement physique et de programs d’activité physique chez les patients hospitalisés atteints de néphropathie nécessitant une dialyze.Évaluer la faisabilité et l’efficacité préliminaire d’une intervention précoce en matière d’activité physique (l’étudeÉtude pilote.L’unité de soins 37 du Foothills Medical Center de Calgary (Alberta) au Canada.Des patients hospitalisés recevant des traitements de dialyze.Les données de faisabilité ont été recueillies pour le recrutement, la participation, l’achèvement de l’évaluation, l’achèvement du program d’activité physique et les événements indésirables. La satisfaction des participants et des professionnels de la santé à l’égard de l’intervention a été évaluée à l’aide d’un questionnaire. La fragilité et les fonctions physiques ont été évaluées avant et après l’intervention, et avant la sortie de l’hôpital.L’étude était une intervention pilote à bras unique examinant la faisabilité et l’efficacité préliminaire. Les patients hospitalisés atteints d’insuffisance rénale et nécessitant une dialyze ont été recrutés pour une intervention individualisée d’activité physique pendant toute la durée de leur séjour à l’hôpital. L’intervention était dirigée par un kinésiologue et appuyée par l’équipe de soins cliniques qui comprenait notamment des physiothérapeutes et des infirmières cliniciennes. Des programs d’activité physique individualisés ont été créés afin que les patients puissent s’exercer quotidiennement pendant leur séjour. Ces programs étaient axés sur la force, la mobilité, l’équilibre et le mouvement général, et étaient adaptés aux besoins de chaque patient.Trente-six pour cent des patients admissibles (n=23/64) ont consenti à participer à l’étudePuisqu’il s’agit d’une étude de faisabilité, la recherche n’avait pas la puissance nécessaire pour évaluer l’efficacité de l’intervention et ne disposait pas de groupe de comparaison permettant d’établir un lien définitif entre les changements observés et l’intervention elle-même. La nature volontaire du recrutement pourrait avoir favorisé les patients hospitalisés atteints d’IRT ayant une motivation et une fonction de base supérieures à la moyenne. L’échantillon de petite taille, provenant d’un seul site, limite la généralisabilité des résultats. De plus, les évaluations postintervention ont été manquées pour un grand nombre de patients, ceux-ci ayant obtenu leur congé avant que le personnel de recherche ait été avisé ou en mesure de compléter les évaluations. Enfin, le fait de connaître la durée du séjour dans l’ensemble de l’établissement, et non seulement dans chaque service permettrait de mieux comprendre l’impact de l’hospitalization pour ces patients.L’exécution d’une intervention d’activité physique et la participation des patients hospitalisés nécessitant une dialyze à une telle intervention n’étaient pas réalisables initialement, principalement en raison de difficultés liées au recrutement et à l’observance. L’étude a été modifiée pour intégrer un membre de l’équipe de recherche dans l’unité de soins afin d’accroître les efforts de recrutement et de soutenir l’observance du program d’exercices. L’impact de l’intervention comprend des avantages potentiels sur la fragilité et la qualité de vie.
Databáze: OpenAIRE