City branding et fragmentation métropolitaine : l’impossible recherche d’une marque territoriale dans le cas du territoire marseillais1
Autor: | Nicolas Maisetti |
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Přispěvatelé: | Laboratoire Techniques, Territoires et Sociétés (LATTS), Université Paris-Est Marne-la-Vallée (UPEM)-École des Ponts ParisTech (ENPC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) |
Rok vydání: | 2013 |
Předmět: | |
Zdroj: | Communication & langages Communication & langages, Nec Plus, 2013, 2013 (175), pp.95-118. ⟨10.4074/S033615001301106x⟩ |
ISSN: | 0336-1500 1778-7459 |
DOI: | 10.4074/s033615001301106x |
Popis: | International audience; En retraçant les motifs de l'absence d'accord stabilisé sur une (stratégie de) marque de la ville de Marseille, cet article vise à saisir au concret les dis-positifs de marque territoriale et leurs effets sur la recomposition de la « gou-vernance urbaine ». Le point de départ est situé dans la mobilisation d'experts et d'entrepreneurs locaux qui partagent le constat de « retard » de la ville dans la compétition inter-territoriale. Cependant, cette délégation des politiques d'attractivité aux entrepreneurs privés de la « cause métropolitaine » ne s'est pas extraite des luttes politiques dont elle est le produit. Les trajectoires des labels « Marseille on the move » et « Ma ville accélère », l'instabilité des représentations de Marseille-Provence Capitale européenne de la culture en 2013 viendront en appui de la démonstration relative aux conditions de reproduction historique du morcellement politique et ainsi d'un modèle de gouvernance frag-mentaire à rebours de l'hypothèse de l'acteur collectif. |
Databáze: | OpenAIRE |
Externí odkaz: |