The influence of psychology on investment decision-making
Autor: | Zineb MIHRAJ, Abdelouahed ALAOUI MDAGHRI |
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Rok vydání: | 2022 |
Předmět: | |
Zdroj: | International Journal of Accounting, Finance, Auditing, Management and Economics; Vol. 3 No. 4-2 (2022): Theoretical Reserach; 425-436 International Journal of Accounting, Finance, Auditing, Management and Economics; Vol. 3 No. 4-2 (2022): Recherches théoriques; 425-436 |
ISSN: | 2658-8455 |
DOI: | 10.5281/zenodo.6990644 |
Popis: | Classical or standard finance has shown certain limitations, particularly in explaining and predicting stock market dysfunction. Behavioral finance offers a complimentary perspective to the analysis of this dysfunction by integrating the psychology of the investor. It brings together several fields such as psychology, even sociology or anthropology and tries to integrate it with economics. It has shown the existence of many behavioral factors that often follow the decision-making of decision makers or investors. Thus, behavioral finance combines psychological, behavioral and cognitive theories with economics and finance in order to understand the irrationality of investors in their decision-making. According to classical financial theory (Tobin 1958, Markowitz 1959 and Alexander 1961), humans are most often rational and logical in maximizing their wealth and making decisions. It has been attested by several researchers and scientists that human beings are capable of making complex analyses and decisions based on the conclusions they draw, but this puts them under many constraints that sometimes lead them to make shortcuts and rely on their intuition. Otherwise, the human being is not a machine that analyzes and gives a verdict according to a previously studied program. Researchers in economics and finance (Daniel Kahneman and Amos Tversky Who Won the Nobel Prize in Economics with Their Prospect Theory in 2002) have concluded that factors such as mood and psychology influence decision-making. Added to this are the discrepancies between reality and perception, between a past event and one's memory of it. Thus, the purpose of this article is to provide a literature review covering as many aspects as possible, including biases and heuristics. Then, we will focus on the contribution of behavioral finance and the impact of emotions on decision-making. Keywords: behavioral finance, decision-making, emotions, information processing, moods JEL Classification: G4 – G40 – G41 Paper type: Theoretical Research La finance classique ou standard a montré certaines limites, notamment pour l'explication et la prédiction des dysfonctionnements boursiers. La finance comportementale offre une perspective complémentaire à l'analyse de ce dysfonctionnement en intégrant la psychologie de l'investisseur. Elle regroupe plusieurs domaines comme la psychologie, voire de la sociologie ou l'anthropologie et essaye de l'intégrer à l'économie. Elle a montré l'existence de nombreux facteurs comportementaux qui suivent souvent la prise de décision chez les décideurs ou les investisseurs. Donc la finance comportementale associe les théories psychologiques, comportementales et cognitives à l'économie et la finance afin de comprendre l'irrationalité des investisseurs lors de leurs prises de décisions. Selon la théorie financière classique (Tobin 1958, Markowitz 1959 et Alexander 1961), les hommes sont le plus souvent, rationnels et logiques dans la maximisation de leur richesse et la prise de décision. Il a été attesté par plusieurs chercheurs et scientifiques que l'être humain est capable de faire des analyses complexes et de prendre des décisions suite aux conclusions qu'il en tire, ceci le met en confrontation à de nombreuses contraintes qui l'amènent parfois à faire des raccourcis, et à se baser sur son intuition. Autrement, l'être humain n'est pas une machine qui analyse et donne un verdict selon un programme étudié au préalable. Les chercheurs en économie et en finance (Daniel Kahneman et Amos Tversky qui ont obtenu le prix Nobel d'économie avec sa théorie des perspectives en 2002) ont conclu que certains facteurs comme l'humeur et la psychologie influencent la prise de décisions. On ajoute à cela les écarts entre la réalité et la perception de celle-ci, entre un événement passé et le souvenir qu'il en a. Ainsi, l'objet de cet article est de fournir une revue de littérature couvrant le plus de volets possibles, comprend les biais et les heuristiques. Ensuite, on va mettre l'accent sur l'apport de la finance comportementale et l'impact des émotions sur la prise de décision. Mots clés : finance comportementale, prise de décision, émotions, traitement d'information, humeurs JEL Classification: G4 – G40 – G41 Paper type: Theoretical Research |
Databáze: | OpenAIRE |
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