Chronic Stress Triggers Social Aversion via Glucocorticoid Receptor in Dopaminoceptive Neurons

Autor: Jean-Pol Tassin, François Tronche, Sebastian P. Fernandez, Cedric Mombereau, Fabio Marti, Jacques Barik, Gérard Godeheu, Philippe Faure, Christophe Lanteri, Carole Morel
Přispěvatelé: Neurophysiologie et comportements = Neurophysiology and Behavior (NPS-06), Neuroscience Paris Seine (NPS), Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Institut de Biologie Paris Seine (IBPS), Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Institut de Biologie Paris Seine (IBPS), Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), CNRS, INSERM, Agence Nationale de la Recherche (TIMMS), UPMC (Emergence program), Region Ile-de-France (NeRF), European Union, Bettencourt Schueller Foundation, Mission Interministerielle de Lutte contre la Dependance et la Toxicomanie, Fondation pour la Recherche Medicale, Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Institut de Biologie Paris Seine (IBPS), Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Neurosciences Paris Seine (NPS), Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Institut de Biologie Paris Seine (IBPS), Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Institut de Biologie Paris Seine (IBPS), Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut de Biologie Paris Seine (IBPS), Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut de Biologie Paris Seine (IBPS), Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)
Rok vydání: 2013
Předmět:
Zdroj: Science
Science, American Association for the Advancement of Science, 2013, 339 (6117), pp.332-335. ⟨10.1126/science.1226767⟩
Science, 2013, 339 (6117), pp.332-335. ⟨10.1126/science.1226767⟩
ISSN: 1095-9203
0036-8075
DOI: 10.1126/science.1226767
Popis: Defeat, Distress, and Glucocorticoids Understanding how individuals control emotions and cope with stressful events is a major clinical concern and of importance for the treatment of psychiatric illnesses (see the Perspective by McEwen ). Barik et al. (p. 332 ) discovered that aggressive defeat stress in mice caused glucocortioid release and increased activity in the dopamine system. Deleting the glucocorticoid receptors in dopaminoceptive neurons completely prevented the social avoidance that usually follows aggressive defeat. How the combination of genetic factors and environmental stressors during adolescence determines adult behavior and how their disturbance results in neuropsychiatric disorders is poorly understood. Niwa et al. (p. 335 ) found that isolation stress during adolescence, which does not cause any long-lasting changes in wild-type mice, induced significant neurochemical and behavioral alterations in mutant mice expressing a dominant-negative variant of the disrupted in schizophrenia 1 gene under the control of the prion protein promoter. These deficits could be reversed by a glucocorticoid receptor antagonist.
Databáze: OpenAIRE