Traduction ou la lecture en profondeur : analyse des traductions françaises de Grande Sertão : Veredas de João Guimarães Rosa

Autor: Sheila Maria dos Santos
Rok vydání: 2020
Předmět:
Zdroj: Rónai – Revista de Estudos Clássicos e Tradutórios; Vol. 8 No. 2 (2020): Rónai: Revista de Estudos Clássicos e Tradutórios; 76-89
Rónai – Revista de Estudos Clássicos e Tradutórios; v. 8 n. 2 (2020): Rónai: Revista de Estudos Clássicos e Tradutórios; 76-89
Rónai
Universidade Federal de Juiz de Fora (UFJF)
instacron:UFJF
ISSN: 2318-3446
DOI: 10.34019/2318-3446.2020.v8.30858
Popis: Segundo André Gide, a tradução seria a maneira mais perfeita de ler um texto, aforismo encontrado também em Muntaner, Plassard, entre outros. Com efeito, a leitura efetuada com o objetivo de servir à tradução deuma obra não possui as mesmas características que a leitura praticada pelo leitor comum. Assim, consciente da importância da leitura aprofundada para a tradução, esse trabalho partirá da análise das duas traduções francesas da obra Grande Sertão: Veredas, de João Guimarães Rosa, intituladas Diadorim, com o objetivo de identificar as diferentes leituras do texto-fonte. Para tanto, serão utilizadas como base teórica as obras de Plassard, Walter Benjamin, Ladmiral, entre outros. Selon André Gide, la traduction serait la manière la plus parfaite de lire un texte, aphorisme retrouvé aussi chez Muntaner, Plassard, entre autres. En effet, la lecture effectuée dans le but de servir à la traduction d’une œuvre ne possède pas les mêmes caractéristiques que la lecture pratiquée par un lecteur commun. Ainsi, en ayant conscience de l’importance de la lecture approfondie pour la traduction, ce travail se penchera sur l’analyse des deux traductions françaises de l’œuvre Grande Sertão: Veredas, de João Guimarães Rosa, intitulées Diadorim, dans le but d’identifier les différentes lectures faites du texte-source. Pour ce faire, l’on utilisera comme base théorique les œuvres de Plassard, Walter Benjamin, Ladmiral, Wuilmart, entre autres. Selon André Gide, la traduction serait la manière la plus parfaite de lire un texte, aphorisme retrouvé aussi chez Muntaner, Plassard, entre autres. En effet, la lecture effectuée dans le but de servir à la traduction d’une œuvre ne possède pas les mêmes caractéristiques que la lecture pratiquée par un lecteur commun. Ainsi, en ayant conscience de l’importance de la lecture approfondie pour la traduction, ce travail se penchera sur l’analyse des deux traductions françaises de l’œuvre Grande Sertão: Veredas, de João Guimarães Rosa, intitulées Diadorim, dans le but d’identifier les différentes lectures faites du texte-source. Pour ce faire, l’on utilisera comme base théorique les œuvres de Plassard, Walter Benjamin, Ladmiral, Wuilmart, entre autres.
Databáze: OpenAIRE