Sortir sans diplôme de STS : l’autre échec de l’enseignement supérieur

Autor: Fanette Merlin
Přispěvatelé: Centre d'études et de recherches sur les qualifications (CEREQ), ministère de l'Emploi, cohésion sociale et logement-Ministère de l'Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (M.E.N.E.S.R.), Institut de Recherche sur l'Education : Sociologie et Economie de l'Education [Dijon] (IREDU), Université de Bourgogne (UB)-Université Bourgogne Franche-Comté [COMUE] (UBFC)
Jazyk: francouzština
Rok vydání: 2020
Předmět:
Organizational Behavior and Human Resource Management
Sociology and Political Science
[SHS.EDU]Humanities and Social Sciences/Education
Insertion professionnelle
JEL: I - Health
Education
and Welfare/I.I2 - Education and Research Institutions/I.I2.I21 - Analysis of Education

JEL: I - Health
Education
and Welfare/I.I2 - Education and Research Institutions/I.I2.I23 - Higher Education • Research Institutions

[SHS.ECO]Humanities and Social Sciences/Economics and Finance
Orientation scolaire et professionnelle
Enseignement supérieur
abandon des études
Enseignement technique et professionnel
Reprise d'études
JEL: J - Labor and Demographic Economics/J.J2 - Demand and Supply of Labor/J.J2.J24 - Human Capital • Skills • Occupational Choice • Labor Productivity
Parcours scolaire
Population défavorisée
Zdroj: Formation Emploi. Revue française de sciences sociales
Formation Emploi. Revue française de sciences sociales, La documentation française/CEREQ, 2020, pp.7-37. ⟨10.4000/formationemploi.7976⟩
ISSN: 0759-6340
2107-0946
DOI: 10.4000/formationemploi.7976⟩
Popis: International audience; Cet article s’intéresse aux débuts de carrière des sortants sans diplôme de l’enseignement supérieur, en fonction de leur voie de formation. L’échec à l’université est identifié comme un problème public et fait l’objet de nombreux travaux de recherche et politiques publiques. Les sortants sans diplôme des sections de technicien supérieur (STS) sont moins étudiés alors qu’ils sont, en proportion, aussi nombreux. Ce déficit d’attention pouvait, jusqu’à présent, se justifier par la meilleure insertion professionnelle des non-diplômés de STS. À partir des enquêtes Génération 1998 et 2010, cette étude montre que cet avantage a désormais disparu.
Databáze: OpenAIRE