Canadian Public Health Laboratory Network laboratory Guidelines for the Use of Point-of-Care Tests for the Diagnosis of Syphilis in Canada

Autor: Ameeta E. Singh, Tom Wong, Max Chernesky, Muhammad Morshed
Rok vydání: 2015
Předmět:
Zdroj: Canadian Journal of Infectious Diseases and Medical Microbiology, Vol 26, Iss Supplement A, Pp 29A-32A (2015)
The Canadian Journal of Infectious Diseases & Medical Microbiology
ISSN: 1712-9532
Popis: Syphilis point-of-care tests (POCT) are widely available in developing countries enabling early diagnosis, treatment and support. The majority of commercially available tests use treponemal antigens and the presence of antibodies does not distinguish between current and past infection, which may lead to unnecessary antibiotic use and stigmatization of having a current STI. In hard-to-reach populations, the benefits may outweigh the risks. Available studies show reasonable performance of POCT with median sensitivity of 86%, specificity of 99% and positive predictive values80% when prevalence was0.3%. Although no syphilis POCT are approved in Canada at this time, a single study in an outreach setting in Alberta showed limited benefit due to a high prevalence of previous infection but more studies are needed. Newer dual tests employing treponemal and nontreponemal antigens look promising.Les tests au point de service (TPdS) de la syphilis sont largement répandus dans les pays en voie développement, ce qui favorise un diagnostic, un traitement et un soutien rapides. La majorité des tests offerts sur le marché font appel aux antigènes tréponémiques. Toutefois, la présence d’anticorps ne permet pas de distinguer une infection en cours d’une infection antérieure, ce qui peut entraîner l’utilisation inutile d’antibiotiques et une stigmatisation liée à l’ITS. Dans des populations difficiles à joindre, les avantages dépassent peut-être les risques. Selon les études existantes, les TPdS donnent des résultats raisonnables, à la sensibilité médiane de 86 %, à la spécificité de 99 % et aux valeurs prédictives positives de plus de 80 % lorsque la prévalence est supérieure à 0,3 %. Même si aucun TDdS de la syphilis n’est approuvé au Canada, une seule étude, réalisée dans un milieu communautaire en Alberta, en a démontré les avantages limités en raison de la forte prévalence d’infection antérieure, mais d’autres études s’imposent. De nouveaux doubles tests, faisant appel à des antigènes tréponémiques et non tréponémiques, semblent prometteurs.
Databáze: OpenAIRE