'Me will homa to France and no be hanged in a strange country': Comic French Villains in Late Elizabethan Drama
Autor: | Charles Whitworth |
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Přispěvatelé: | Institut de recherche sur la Renaissance, l'Age Classique, et les Lumières. (IRCL), Université Paul-Valéry - Montpellier 3 (UPVM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) |
Jazyk: | angličtina |
Rok vydání: | 2011 |
Předmět: |
assassins
Marston stage French lcsh:English language [SHS.LITT]Humanities and Social Sciences/Literature business.industry media_common.quotation_subject Lodge pseudo-historical plays General Medicine Art Comics 16. Peace & justice French comic villains the French menace grotesque Ethnology Elizabethan comedy lcsh:PE1-3729 business Humanities Greene Drama media_common |
Zdroj: | Caliban: French Journal of English Studies, Vol 29, Pp 219-234 (2011) Anglophonia, French Journal of English Studies Anglophonia, French Journal of English Studies, Presse universitaires du Mirail, 2011, 29, pp.219-234. ⟨10.4000/caliban.803⟩ |
ISSN: | 2431-1766 2425-6250 2427-0466 |
DOI: | 10.4000/caliban.803⟩ |
Popis: | Revue "Caliban" en ligne : article mis en ligne le 15 mai 2015; International audience; Contrairement à ce qu’on pourrait imaginer, le type du « méchant » français, assassin, traître ou prédateur sexuel, est rarement représenté par les dramaturges élisabéthains sous un jour comique voire grotesque ou absurde. Au terme d’une recherche menée en marge du projet de base de données Allusions to France and the French in English Drama to 1642, un nombre fort réduit de cas ont été identifiés, dans des pièces de Greene, Lodge, Marston, ou dans des textes anonymes. Par ailleurs, les « méchants » français (les français sont méchants par définition puisqu’ennemis des Anglais―ainsi en est-il des pièces historiques) et les français comiques mais pas particulièrement méchants, abondent dans le théâtre de l’époque, y compris chez Shakespeare.Les personnages principaux que sont Pedro dans The Wounds of Civil War de Lodge et Jaques dans James IV de Greene sont traités différemment par les deux dramaturges. L’un s’enfuit, terrifié à la vue du visage de sa victime, le consul romain Caius Marius. L¹autre prend la fuite après avoir tenté, sans succès, de tuer la femme du roi, abandonnant son patron Ateukin, le vrai “méchant” de la pièce, à son destin, et jure de rentrer en France pour ne pas être pendu dans un pays étranger. Un troisième personnage d’une petite pièce de Marston complète cette courte liste. L’Italie et l’Espagne fourniraient aux dramaturges anglais dans les premières décennies du XVIIe siècle beaucoup plus de matière, dans la comédie comme dans la tragédie. |
Databáze: | OpenAIRE |
Externí odkaz: |