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Cette analyse du dernier tableau du peintre américain Stuart Davis met en relation cette œuvre avec d’autres peintures de Davis, faisant apparaître la structure de l’œuvre comme superposition d’espaces-couleur, d’espaces linguistiques et d’espaces conceptuels. La toile, comme les éléments qui la composent, est un champ de migration et de transgression (visuelle et linguistique). Mais le projet d’objectivité de Davis, qui constitue pour lui la finalité de l’art, est utopique, les mots ne pouvant échapper à leur rôle de signifiant. Through bringing together this and other paintings by this American artist, this analysis of Stuart Davis’s last painting points to the structure of his paintings as multiple spaces, “color-space”, linguistic space, and conceptual space. The painting, and its structural elements, is an “in-out field”, a field of migration and transgression, both visual and verbal. But Davis’s project to create objective art, objectivity being the end of art, its finality, appears as utopian in view of the inescapable significance of words. |
