Dynamics of glomerular ultrafiltration following open-heart surgery

Autor: Brian J. Carrie, Channing R. Robertson, Edward B. Stinson, Robin J. Spencer, Bryan D. Myers, Mark Hilberman
Rok vydání: 1981
Předmět:
Zdroj: Kidney international. 20(3)
ISSN: 0085-2538
Popis: Dynamics of glomerular ultrafiltration following open-heart surgery. To elucidate how individual determinants might lower the rate of glomerular ultrafiltration (GFR) in some patients following cardiac surgery, we performed hemodynamic measurements and clearances of inulin (as a measure of GFR), PAH (as a measure of effective renal plasma flow [ERPF]), and dextran-40. Two groups of 17 patients each were distinguished by the presence or absence of prerenal azotemia. Glomerular hypofiltration (GFR = 21 ± 2 vs. 76 ± 6ml/min/1.73m2, P & lt; 0.001) in the former was accompanied by depressed left ventricular function, arterial pressure, and ERPF (152 ± 26 vs. 317 ± 32ml/min/ 1.73m2, P & lt; 0.001). To determine if factors beside ERPF play a role in lowering GFR, we calculated the efferent oncotic pressure (πe). Failure of GFR to change over a 24-hour period despite increases in ERPF suggested that both patient groups were at filtration pressure disequilibrium (FPD). This condition permits calculation of a unique glomerular ultrafiltration coefficient (Kf), Over a range of pressures for transcapillary hydraulic pressure (), such that 3 ≤ ( - πe) ≤ 10mm Hg (to simulate FPD), Kf was less than 0.08ml · sec-1 ·mm Hg-1 · 1.73m-2 in azotemic, but exceeded this value in nonazotemic patients. Although a selective reduction of Kf is predicted to lower the fractional clearance of dextrans, these were significantly elevated in azotemic relative to nonazotemic patients (molecular radii 30 – 40 Å). A theoretical analysis of the latter data suggests that over the foregoing range of FPD, a 15 to 30% decline in combined with a 30 to 0% reduction in Kf from values in nonazotemic patients best explains the experimental findings in azotemic patients.Dynamique de la filtration glomérulaire après chirurgie à coeur ouvert. Afin de savoir comment des déterminants individuels peuvent abaisser le débit de filtration glomérulaire (GFR) chez certains malades après chirurgie cardiaque des mesures hémodynamiques et de clairances de l'inulin (chez GFR), du PAH (chez ERPF) et du dextran-40 ont été réalisées. Deux groupes de 17 malades chacun ont été constitués en fonction de l'absence ou de la présence d'azotémie pré-rénale. Dans le premier groupe la baisse de GFR (21 ± 2 vs. 76 ± 6ml/min/1,73m2, P < 0,001) était accompagnée d'un abaissement de la fonction ventriculaire gauche, de la pression artérielle et de ERPF (152 ± 26 vs. 317 ± 32ml/ min/1,73m2, P & lt; 0,001). Afin de savoir si des fonctions autres que ERPF jouent un rôle dans l'abaissement de GFR la pression oncotique efférente (πe) a été calculée. Le fait que GFR n'ait pas changé sur une période de 24 heures malgré des augmentations de ERPF suggère que les deux groupes de sujets étaient en situation de déséquilibre en ce qui concerne la pression de filtration (FPD). Cette situation permet de calculer un seul coefficient d'ultrafiltration glomérulaire (Kf). Dans un éventail de valeurs de la pression hydraulique transcapillaire () tel que 3 ≤ ( - πe) ≤ 10mm Hg (pour stimuler FPD), Kf était inférieur à 0,08ml · sec-1 ·mm Hg-1 · 1,73m2 chez les azotémiques mais était supérieur à cetta valeur chez les malades non azotémiques. Alors qu'une réduction sélective de Kf devrait abaisser la clairance fractionnelle des dextrans, celle-ci était significativement plus grande chez les malades azotémiques (diamètres moléculaires, 30 à 40 Å). Une analyse théorique de ces résultats suggère que dans l'éventail des valeurs de FPD déjà mentionné une dimunition de 15 à 30% de associée à une réduction de 30% de Kf par rapport aux malades non-azotémiques est la meilleure explication des constatations faites chez les malades azotémiques.
Databáze: OpenAIRE