Philip Freneau, chantre et observateur des révolutions
Autor: | Jean F. Béranger |
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Rok vydání: | 1988 |
Předmět: | |
Zdroj: | The Tocqueville Review. 9:27-47 |
ISSN: | 1918-6649 0730-479X |
DOI: | 10.3138/ttr.9.1.27 |
Popis: | Le fils aîné de Pierre Freneau, marchand new yorkais et huguenot, et d’Agnès Watson, elle-même fille d’immigrés écossais presbytériens, faillit devenir pasteur calviniste. Son degré d’instruction lui valut d’entrer comme sophomore à Nassau Hall en 1768. Il eut pour camarades de chambre Hugh Henry Brackenridge et James Madison. C’était l’époque où le nouveau président venu d’Ecosse, John Witherspoon, ministre presbytérien libéral, rénovait l’enseignement. Retint-il la maxime du futur signataire de la Déclaration d’indépendance « Liberty either cannot, or ought not to be given up in the social state »? Sur ce point comme sur la stimulation qu’il aurait trouvée à la lecture des idées de Rousseau sur la nature et le gouvernement nous sommes réduits à des conjectures. |
Databáze: | OpenAIRE |
Externí odkaz: |