'Death cannot harm the patient: Comparativism and the biased world problem'
Autor: | Dennis R. Cooley |
---|---|
Jazyk: | angličtina |
Rok vydání: | 2020 |
Předmět: |
Thought experiment
Patient Aside Health Policy Comparativisme Intrinsic value (animal ethics) Comparativism Harm Bioethics Test (assessment) End-of-life decisions Possible world Death Isolation (psychology) Préjudice Décisions de fin de vie Mort Psychology Philosophical Considerations Law and economics |
Zdroj: | Ethics, Medicine, and Public Health |
ISSN: | 2352-5525 |
Popis: | Premature discussions of patients' rights or duties to death must be put aside to focus first on whether death injures the patient who dies. Comparativism argues that dying does have impact on this individual, then it may alter our arguments on duties or rights to die, as well as on how and whether we should make end of life decisions for others. If Comparativism is correct, then there are large ramifications for ethics, medicine, and public health. Unfortunately for Comparativism, its incorporation of intuitions and possible worlds gives it the same undermining biased world problem encountered by Moore's isolation test for intrinsic value. Imagining/referring to a possible world whilst in this one merely creates the illusion that a decedent's death can benefit or injure her. When we select possible worlds or fill in their missing states of affairs, we can often impose our own biases into the thought experiment. Thinking about fictions is useful in figuring out what we should do and be, as well as evaluating what others did and were, but medical practice and policy affecting end of life issues in bioethics should always be based on reality and not subjective partiality.Des discussions prématurées sur les droits ou les devoirs de décès des patients doivent être mises de côté pour déterminer si la mort blesse le patient qui meurt. Le comparativisme soutient que la mort a un impact sur cette personne, alors elle peut modifier nos arguments sur les devoirs ou les droits de mourir, ainsi que sur la façon dont et si nous devrions prendre des décisions de fin de vie pour les autres. Si le comparativisme est correct, alors il y a de grandes ramifications pour l’éthique, la médecine et la santé publique. Malheureusement pour le comparativisme, son incorporation d’intuitions et de mondes possibles lui donne le même problème mondial de biais rencontré par le test d’isolement de Moore pour la valeur intrinsèque. Imaginer/se référer à un monde possible alors que celui-ci crée simplement l’illusion que la mort d’un défunt peut bénéficier ou la blesser. Lorsque nous sélectionnons des mondes possibles ou remplissons leurs états de choses manquants, nous pouvons souvent imposer nos propres préjugés dans l’expérience de pensée. Penser à la fiction est utile pour déterminer ce que nous devrions faire et être, ainsi que l’évaluation de ce que les autres ont fait et étaient, mais la pratique médicale et la politique affectant les questions de fin de vie en bioéthique devraient toujours être fondées sur la réalité et non pas la partialité subjective. |
Databáze: | OpenAIRE |
Externí odkaz: |