Facteurs associés a une mauvaise acceptation de la maladie chez les patients BPCO
Autor: | Chantal Raherison-Semjen, D. Piperno, Leo Grassion, A. Izadifar, F. Le Guillou |
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Přispěvatelé: | Hôpital Haut-Lévêque [CHU Bordeaux], CHU Bordeaux [Bordeaux], Bordeaux population health (BPH), Université de Bordeaux (UB)-Institut de Santé Publique, d'Épidémiologie et de Développement (ISPED)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) |
Jazyk: | francouzština |
Rok vydání: | 2019 |
Předmět: |
Pulmonary and Respiratory Medicine
Gynecology Quality of life medicine.medical_specialty business.industry Physical activity Qualité de vie Therapeutic education 3. Good health Activité physique 03 medical and health sciences Acceptance Acceptation 0302 clinical medicine BPCO 030228 respiratory system medicine COPD [SDV.SPEE]Life Sciences [q-bio]/Santé publique et épidémiologie 030212 general & internal medicine business Éducation thérapeutique |
Zdroj: | Revue des Maladies Respiratoires Revue des Maladies Respiratoires, Elsevier Masson, 2019, 36 (4), pp.461-467. ⟨10.1016/j.rmr.2018.11.010⟩ |
ISSN: | 0761-8425 |
Popis: | Resume Introduction Chez les patients atteints de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), l’acceptation de la pathologie est probablement un facteur majeur d’amelioration de la qualite de vie. L’objectif de ce travail est d’identifier les criteres associes a une bonne ou une mauvaise acceptation de la pathologie et d’identifier les moyens de l’ameliorer. Methodes Nous avons realise une enquete telephonique au sein de l’ensemble des patients de l’association BPCO a l’aide d’un questionnaire standardise etabli au prealable par differents acteurs de sante. Resultats Sur les 1040 patients de l’association, 356 (34 %) ont repondu au questionnaire. 99 patients ont rapporte ne pas accepter leur pathologie (28 %). Les patients n’acceptant pas leur pathologie sont significativement plus severes et ont plus de difficulte a realiser les actes de la vie quotidienne, notamment une activite physique. Ces patients ont significativement plus de difficulte a comprendre leur pathologie mais rapportent aussi une attitude moralisatrice de leurs proches plus frequente. Conclusion Plus la pathologie est handicapante, plus l’acceptation est difficile pour les patients. Le medecin peut avoir un impact en ameliorant l’education therapeutique et en impliquant plus les proches dans la prise en charge. |
Databáze: | OpenAIRE |
Externí odkaz: |