Pour une évaluation qualitative participante inhibitrice du risque psychosocial
Autor: | Patrick Haim |
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Přispěvatelé: | Institut de Socio-économie des Entreprises et des ORganisations (ISEOR), Institut de socio-économie des entreprises et des organisations, Laboratoire de Recherche Magellan, Université Jean Moulin - Lyon 3 (UJML), Université de Lyon-Université de Lyon-Institut d'Administration des Entreprises (IAE) - Lyon |
Jazyk: | francouzština |
Rok vydání: | 2013 |
Předmět: |
organizational intelligence
psycho-social risk risque psychosocial Political science individual and collective initiative [SHS.GESTION]Humanities and Social Sciences/Business administration intelligence organisationnelle initiative personnelle et collective Humanities qualitative and participative evaluation évaluation qualitative participante |
Zdroj: | Vie et Sciences de l'Entreprise Vie et Sciences de l'Entreprise, 2013, pp.144-163. ⟨10.3917/vse.195.0144⟩ Vie et Sciences de l'Entreprise, ANDESE, 2013, pp.144-163. ⟨10.3917/vse.195.0144⟩ |
ISSN: | 2262-5321 2262-5372 |
DOI: | 10.3917/vse.195.0144⟩ |
Popis: | International audience; Work overload, unmet goals and too short achievement deadlines such as the hierarchy or the customers’ pressure, may lead employees to a depressive state. This state constitutes a risk for the employee, for his family circle and for the company which has hired him. A compromised health, a decreasing energy and a lack of focus may combine often with a low consideration, a lack of trust and cooperation and sensations of well-being and discontent. An insufficient participatory commitment from the employees is part of the psycho-social risk indicators (PSR) not taken into account in the essentially quantitative classical HR scoreboards. Implementing a qualitative and participative assessment which gives a member of staff the action initiative allows reducing the psychosocial risk, driver of costs and decreased results. Those are the findings coming from an action research survey conducted with a hundred call centers’ workers during two years.; La surcharge de travail et des délais de réalisation trop courts tout comme la pression de la hiérarchie, des clients, des autorités publiques et les non-atteintes d’objectifs peuvent conduire le salarié à un état dépressif. Cet état constitue un risque pour lui-même, pour son entourage et pour l’entreprise qui l’emploie. Une santé fragile, une énergie qui décroit et un manque de concentration se conjuguent souvent à une faible considération d’autrui, un manque de coopération et de confiance et des sensations de mal-être. Un engagement participatif insuffisant des ressources humaines fait partie des indicateurs de risque psychosocial que les entreprises ne prennent pas en compte dans leurs tableaux de bord classiques essentiellement quantitatifs. Effectuer une « évaluation qualitative participante », qui laisse l’initiative d’actions au collaborateur, permet de réduire le risque psychosocial inducteur de coûts et de non-performances. C’est le constat réalisé auprès d’une centaine de téléopérateurs après 2 ans de recherches/intervention. |
Databáze: | OpenAIRE |
Externí odkaz: |