Autor: |
I. Konate, B.C. Abby, G.C. Gbazi, A. Zouzou, C. Ake, K. N’dri, A. Konan |
Rok vydání: |
2007 |
Předmět: |
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Zdroj: |
Journal de Radiologie. 88:1502 |
ISSN: |
0221-0363 |
DOI: |
10.1016/s0221-0363(07)81589-7 |
Popis: |
Objectifs Preciser l’apport diagnostique de l’hysterographie (HSG), de l’echographie et de la cœlioscopie dans l’exploration des dysmenorrhees. Materiels et methodes L’etude prospective a concerne 40 patientes âgees de 20 a 39 ans se plaignant de dysmenorrhee ; toutes explorees a l’HSG, a l’echographie et a la cœlioscopie. Les aspects retrouves ont ete repertories selon leurs caracteres morphologiques et topographiques. Resultats L’endometriose a ete retrouvee dans tous les cas associee dans 18 % a une myomatose uterine. La cœlioscopie a ete la methode la plus contributive (100 %). Elle mettait en evidence plusieurs nodules bleutes ou rougeâtres sur le peritoine (17,5 %), les ovaires (25 %) et les ligaments utero-sacres (27,5 %). Soixante dix pour cent des lesions siegeaient au niveau du cul de sac de Douglas. L’echographie a suspecte 72 % de lesions endometriosiques essentiellement au niveau du myometre et des ovaires. Les lesions endometriosiques vues a l’echographie etaient plus frequentes sur l’ovaire gauche (15 %) que l’ovaire droit (7 %). L’HSG a ete la methode la moins contributive avec 33 % de lesions suspectees au niveau des trompes et de l’uterus. Conclusion En l’absence de l’IRM non disponible a Abidjan, la paire echographie-cœlioscopie constitue un substitut efficace pour l’evaluation diagnostique des dysmenorrhees. |
Databáze: |
OpenAIRE |
Externí odkaz: |
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