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Sous la section grammaire linguistique ��� s��mantisme, Bassirou KHOUMA dans �� Variation diachronique complexe des formes du pr��sent de l���indicatif du fran��ais �� tente de rendre compte de l�����volution morphologique du pr��sent de l���indicatif depuis le latin jusqu���au fran��ais moderne. D��s lors, sa qu��te de curiosit�� pousse ce Chercheur �� s���interroger sur les raisons r��elles de l�����cart morphologique du pr��sent de l���indicatif entre le latin et le fran��ais moderne. En effet, il appert que les d��sinences se sont peu ou prou conserv��es avec modification de sons, mais de nombreux bouleversements ont ��t�� not��s au niveau de l���unit�� des radicaux. Toujours dans le m��me axe d�����tude, Julien K. GBAGUIDI, Hounw��nou Hubert DJOGUE & No�� Kpatagnon DOTOU HOUNDOKPA dans �� Analyse s��miotique des attraits touristiques du site de la 2��mer��sistance de Kaba �� Kouand�� au B��nin �� font l���analyse s��miotique des attraits touristiques de ce site. Pour y parvenir, ils soul��vent les questions suivantes : quels sont les ��l��ments significatifs pr��sents sur ce site lui donnant une valeur touristique ? Comment faire pour mettre en valeur ce site ? La pr��sente section compte six (06) contributions. De fa��on formelle, l���article de Elie YEBOU qui met un point d���honneur sur l���analyse des chansons aussi bien sur le plan social que linguistique, vise �� montrer la valeur de la chanson et le sens qu���elle v��hicule dans la communaut�� ajatado prenant en compte le B��nin, le Togo, le Ghana et le Nig��ria sans oublier ses diff��rentes fonctions dans la soci��t��. A l���issue l���article, l���on comprend que les chansons africaines et surtout celles de l���aire culturelle ajatado regorgent de valeurs. Pour cette raison, l���on devrait identifier les le��ons que v��hiculent les chansons africaines ; distinguer le type de discours tenus �� travers les chansons ; conna��tre les fonctions de la chanson dans la soci��t�� et pouvoir les utiliser �� des fins utiles ; savoir que les signes linguistiques assument des fonctions dans le discours ; reconna��tre les marques de la solitude �� travers les chansons fun��raires dans notre aire culturelle. Contrairement �� E. YEBOU, la publication de Emmanuel Kunde WAMPAH s���int��resse aux erreurs dans la production ��crite des ��tudiants de FLE �� l���universit�� du Ghana. �� travers �� Le Tafal-dj��gu��l�� : une pratique et expression culturelle �� l�����preuve des mutations sociales ��, Kassoum Batjeni SORO propose des solutions visant �� sauvegarder son patrimoine musical. Il part de l���hypoth��se selon laquelle le r��pertoire du tafal-dj��gu��l�� v��hicule des valeurs essentielles pour l�����quilibre et l���harmonie de la soci��t�� s��noufo qu���il faut prot��ger de la disparition et de l���oubli. Kouakou Patrice BEHIBRO s���int��resse �� la fr��quence, aux fonctions de l���alternance codique chez l���enseignant d���espagnol en classe de quatri��me (d��butants) et aux activit��s p��dagogiques au cours desquelles appara��t ce ph��nom��ne de contact de langue. Pour atteindre son objectif, il structure son analyse en trois parties. La contribution de Nayondjoa KONLANI, c���est-��-dire �� ��puisement des r��serves et conflits fonciers inter-collectivit��s dans l���ouest de la r��gion des savanes au Nord-Togom d��crit l�����puisement des ressources fonci��res et analyse les conflits fonciers qui opposent les collectivit��s dans l���Ouest de la R��gion des Savanes. La m��thodologie adopt��e repose sur l���observation participante, la recherche documentaire et les entretiens. Les r��sultats r��v��lent de nombreuses disputes socio-fonci��res qui opposent les lignages, les villages et les cantons. Les collectivit��s contestent entre elles, les droits de paternit�� sur les terres dans 74% des cas alors que 26% des querelles fonci��res sont dus aux remises en cause des limites des propri��t��s collectives. La section deux est cl��tur��e par Olivier MANGAPI KINZE, Le��n MBADU KHONDE & Maurice TINGU YABA NZOLAMESO. La pr��occupation majeure soulev��e par ces derniers consiste �� v��rifier les types d���aptitudes sollicit��es par la fili��re enseignante. Les ��tudes sur la langue fran��aise la pr��sente souvent dans des situations o�� elle est en contact avec les langues africaines. Elle co-apparait avec les langues africaines dans les discours romanesques. Cette co-apparition n���est pas sans cons��quences pour les deux langues en contact. Certains linguistes, surtout les sociolinguistes et les didacticiens, parlent d���ins��curit�� linguistique, d��clare Adama Y��O. Par ailleurs, le combat pour la valorisation de la femme demeure un sujet passionnant dans les romans africains. �� travers �� La condition f��minine et l���homosexualit�� dans Une femme de trop d���Issoufi Dicko et Ah ! Nos maris, ces grands inconnus ! de Dafiatou Ba ��, Amadou Zan TRAOR��, Famakan KEITA & Nassoum Yacine TRAOR��analysent le mariage et ses arcanes, l���inversion sexuelle et ses r��ceptions. La probl��matique de l�����tude met en exergue l���apprentissage efficient du f��minisme et l���inversion sexuelle de la fiction romanesque au quotidien. Loin des combats pour la gent f��minine, l���analyse d���Azzedine MALEK se propose d���examiner, des segments de discours collationn��s �� partir des diff��rents entretiens p��riodiques accord��s aux m��dias nationaux et internationaux ainsi que des allocutions du pr��sident lors des travaux r��unissant le gouvernement et les walis. Contrairement �� ses pr��d��cesseurs, l���article de Doumpa MIAN-ASMBAYE & Dionnodji TCHAINE vise �� mettre en ��vidence les exp��riences et points de vue de certains auteurs sur l���apprentissage implicite du langage humain. Selon ce dernier, l���apprentissage implicite est une proc��dure fondamentale. �� travers �� La parole du diable : postulation de la totalit�� contre son interdit ��, comme l���affirme Jean Robert RAKOTOMALALA, l���objectif vis�� n���est pas de faire une ex��g��se de la Bible mais, au contraire, en passant par elle de montrer que la sui-r��f��rentialit�� d��finitoire de la pragmatique revient �� dire que dans le langage, il n���y a que du langage. Dans la m��me de l���analyse du discours, nous avons les contributions de Rodrigue BOULINGUI ; Samedi KOYE, Emmanuel KALPET & Robert MAMADI ; Serge Simplice NSANA ; Sihame KHARROUBI & Cherifa ZIDOURI. La derni��re section (varia) toute aussi riche que les pr��c��dente est consacr��e aux contributions de Julien TAHA, de Sioudina MANDIBAYE, de Sim��on KONSO-KONSO KASAI, et de Serge MBOMBANGI NDJALI. https://www.revue-akofena.com/wp-content/uploads/2021/12/Akofena-SpL-n��07_Vol.1_2021.pdf . |