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Resume Dans cet article, on discute le modele de dispersion, a partir de l’Afrique, du genre Homo. On tient compte des nouvelles decouvertes, en particulier de l’industrie lithique du type oldouvaien trouvee en 2005 par quelques-uns des auteurs (Josep Gibert, Lluis Gibert et El Hamouti), dans un nouveau gisement du Maroc (Ain-Beni-Mathar). C’est aussi une critique aux modeles de dispersion du genre Homo fondes uniquement sur la consommation de charogne. On discute egalement les objections de Palmqvist et al. [L’Anthropologie 109 (2005) 411–450] a propos de quelques-uns des restes humains d’Orce (VM-1960 et BL-0), objections fondees sur des donnees morphometriques (que, en aucun cas, ecartent ces restes du genre Homo, comme ils l’affirment), sur des criteres d’autorite et sur des hypotheses ad hoc, et en oubliant les donnees anatomiques determinantes. |
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