Factors affecting the scope and initial tightness of covenant restrictions in private lending agreements
Autor: | Samir El-Gazzar, Victor Pastena |
---|---|
Rok vydání: | 1991 |
Předmět: | |
Zdroj: | Contemporary Accounting Research. 8:132-151 |
ISSN: | 1911-3846 0823-9150 |
DOI: | 10.1111/j.1911-3846.1991.tb00839.x |
Popis: | This paper explores restrictions in private lending agreements to determine how contractors' status affects (1) the number of limitations on managerial actions and (2) tightness (or slack) of contract restrictions at contract inception. The major result of the multivariate tests is that highly leveraged borrowers are forced to negotiate agreements with both more numerous and tighter restrictions. Debt contracts represent a series of rational trade-offs. Firms with higher debt face more restrictions, which are tighter and more likely to restrict managerial actions. Similarly, borrowers are more likely to agree to tighter extensive restrictions in exchange for more substantial loans. The evidence also indicates that larger firms that possess greater resources to avoid default are able to negotiate looser agreements that contain fewer restrictions. Secured loans do not impose a large number of accounting-based restrictions on managements' actions because secured lenders have less need to restrict managements' options. However, long-term agreements, including insurance loans, include more restrictions on dividends and payout options but use covenant ratios to allow management the flexibility needed over the course of a long-term loan. Resume. Les auteurs etudient les clauses restrictives des contrats de pret prives afin de determiner comment la situation des contractants influe sur 1) le nombre des limites imposees a la direction dans sa marge de manoeuvre et 2) la rigueur (ou la malleabilite) des restrictions contractuelles au debut du contrat. Une constatation principale resulte des tests a plusieurs variables aleatoires: les emprunteurs dont le levier financier est important se voient contraints de negocier des contrats contenant a la fois des restrictions plus nombreuses et plus rigoureuses. Les contrats d'emprunt sont en quelque sorte une serie de compromis rationnels. Les entreprises dont la dette est plus elevee font face a davantage de restrictions, qui sont plus limitatives et plus susceptibles de reduire la marge de manoeuvre de la direction. D'autre part, les emprunteurs sont plus enclins a accepter que leur soient imposees des restrictions plus rigoureuses et plus nombreuses, en echange de prets plus substantiels. Les resultats de la recherche revelent egalement que les entreprises plus grandes disposant de ressources plus importantes qui diminuent le risque de non-remboursement sont en mesure de negocier des ententes plus souples qui contiennent moins de restrictions. Les prets garantis n'imposent pas beaucoup de restrictions comptables a la marge de manoeuvre de la direction, puisque les preteurs garantis eprouvent moins la necessite de restreindre les options de la direction. Toutefois, les contrats a long terme, parmi lesquels les prets de compagnies d'assurance, comportent davantage de restrictions relatives aux dividendes et aux options de remboursement mais prevoient dans leurs clauses restrictives des ratios moins severes, de faccon a assurer a la direction la souplesse qui lui est necessaire pendant toute la duree des prets. |
Databáze: | OpenAIRE |
Externí odkaz: |