Autor: |
Lionel Badet, Laura Poissonnier, S. Genevoix, Xavier Martin, Albert Gelet, Hakim Fassi-Fehri, Marc Colombel, E.M. Dinia, F.-J. Murat |
Rok vydání: |
2008 |
Předmět: |
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Zdroj: |
Progrès en Urologie. 18:177-182 |
ISSN: |
1166-7087 |
DOI: |
10.1016/j.purol.2007.12.012 |
Popis: |
Resume Objectif Comparer les resultats a court terme de l’implantation du sphincter urinaire artificiel par voie peno-scrotale et par voie perineale. Patients et methodes De mai 2005 a fevrier 2007, 37 sphincters urinaires ont ete implantes successivement dont 16 par voie peno-scrotale et 21 par voie perineale. L’incontinence etait consecutive a une chirurgie prostatique ( n = 36) et un traumatisme du bassin ( n = 1). Dix-sept patients avaient des ATCD de radiotherapie externe. Les delais et les modalites d’activation du sphincter ont ete identiques dans les deux groupes. Resultats L’âge moyen des patients, la duree moyenne de l’intervention, la duree moyenne de sondage, la duree moyenne d’hospitalisation et le recul postoperatoire moyen etaient equivalents dans les deux groupes. Il y a eu dans le groupe peno-scrotal six erosions uretrales (37,5 %) et une erosion scrotale par la pompe (6,6 %). Il y a eu dans le groupe perineal, une infection du sphincter chez deux patients (9,5 %) et une migration de la pompe chez deux autres patients (9,5 %). Il n’y a pas eu d’erosion uretrale. Le taux de succes sans revision etait de 56 % dans le groupe peno-scrotal et de 71,5 % dans le groupe perineal. Conclusion La voie perineale est la voie d’abord de reference puisque la voie peno-scrotale avait un taux d’erosion eleve. L’abord de l’uretre peno-scrotal doit etre une alternative aux cas ou l’uretre bulbaire n’est pas utilisable. |
Databáze: |
OpenAIRE |
Externí odkaz: |
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