Autor: |
Imane Kamaoui, Imane Boutahar, Asmae Oulad Amar, Narjisse Aichouni, Siham Nasri, Fatima Zahra Benabdellah, Imane Skiker, Traoré Samba |
Rok vydání: |
2020 |
Předmět: |
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Zdroj: |
Journal of Neuroradiology. 47:117-118 |
ISSN: |
0150-9861 |
DOI: |
10.1016/j.neurad.2020.01.050 |
Popis: |
Objectifs Expliquer les bases physiques a l’origine d’un hypersignal T1 spontane intracrânien. Preciser l’interet de l’IRM dans le diagnostic positif et topographique d’un hypersignal T1 spontane. Materiels et methodes Nous rapportons le cas d’une patiente de 51 ans suivie pour HTP sur fois de cirrhose, qui presente une dysarthrie depuis une annee. Une TDM cerebrale est realisee en premier redevenant normal d’ou l’indication d’une IRM cerebrale. Resultats L’IRM objective une anomalie de signal du pallidum en bilateral en hypersignal T1 spontane ( Fig. 1 ) non visible sur les autres sequences et non modifies apres injection ( Fig. 2 ) sans autre anomalie associe en rapport avec sa pathologie cirrhotique. Discussion Les hypersignaux T1 intracrâniens sont rencontres dans des circonstances variees. Cet hypersignal touche essentiellement le pallidum et les noyaux sous-thalamiques. Il peut s’etendre aux regions capsulaires et pedonculaires, ainsi qu’a l’antehypophyse [1] . Leur interpretation represente un defi. L’approche diagnostique necessite l’optimisation de l’examen avec certaines sequences complementaires et parfois une confrontation aux donnees d’autres examens d’imagerie. Le signal hyperintense des noyaux gris en T1 est lie a des depots de manganese, il semble au moins autant du a la presence d’une hypertension portale qu’a l’insuffisance hepatique, car il est egalement frequent en cas de thrombose portale sans cirrhose [2] . La signification de cet hypersignal T1 et son lien avec l’encephalopathie sont controverses [3] . A travers une revue iconographique, nous essayons de categoriser et d’expliquer les bases physiques a l’origine d’un hypersignal T1 spontane intracrânien. |
Databáze: |
OpenAIRE |
Externí odkaz: |
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