Autor: |
M. Dehennault, Anne Dieux-Coeslier, S. Petit, A. Lahoche-Manucci, L. Devisme, Pascal Vaast, Muriel Holder-Espinasse, Véronique Houfflin-Debarge, V. Emmanuelli, R. Besson |
Rok vydání: |
2010 |
Předmět: |
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Zdroj: |
Journal de Gynécologie Obstétrique et Biologie de la Reproduction. 39:637-646 |
ISSN: |
0368-2315 |
DOI: |
10.1016/j.jgyn.2010.07.012 |
Popis: |
Resume But Evaluer la pertinence de l’echographie antenatale pour le diagnostic etiologique et pronostique des reins hyperechogenes. Patients et methodes Etude retrospective sur 17 cas de diagnostic prenatal de reins hyperechogenes au CHRU de Lille de 1997 a 2008. Les donnees cliniques et echographiques antenatales ont ete confrontees a celles du suivi postnatal et du pronostic a long terme. Resultats Les etiologies comprennent neuf polykystoses renales recessives, trois dominantes, deux syndromes de Bardet-Biedl et trois hyperechogenicites transitoires. Aucun critere echographique antenatal n’est specifique pour orienter l’etiologie. Les issues de grossesse comptent cinq interruptions medicales de grossesse (IMG), un deces neonatal et 11 enfants vivants (mediane du suivi : 30 mois) dont deux hypertendus. Un oligoanamnios (n = 8) est associe a un pronostic defavorable (IMG, deces neonatal ou vivants symptomatiques) contrairement a un index amniotique normal (n = 9, neuf enfants asymptomatiques). L’association reins de taille inferieure ou egale a +4 D.S. et liquide amniotique normal (n = 7) est un facteur de bon pronostic (sept enfants asymptomatiques). Conclusion Les caracteristiques des reins en echographie antenatale ne permettent pas de porter un diagnostic etiologique de certitude. Seules des malformations associees et l’histoire familiale orientent l’etiologie. La quantite de liquide amniotique et la taille des reins sont les meilleurs facteurs pronostiques. |
Databáze: |
OpenAIRE |
Externí odkaz: |
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