Autor: |
F. Favre, E. Durbant, C. Cordelette, Alexandre Denoyer, J. Vidal, M. Afriat, C. Arndt, Alain Ducasse, C. Brugniart |
Rok vydání: |
2018 |
Předmět: |
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Zdroj: |
Journal Français d'Ophtalmologie. 41:308-314 |
ISSN: |
0181-5512 |
Popis: |
Resume Objectif Evaluer l’interet de la formule Holladay 2 par rapport aux formules de 3e generation dans le calcul de la puissance d’implant intraoculaire (IOL) avec une longueur axiale (LA) ou une keratometrie moyenne (Km) extremes avant chirurgie de cataracte. Patients et methodes Il s’agit d’etude retrospective realisee de janvier a decembre 2015. Les criteres d’inclusion etaient une LA 26 mm et une Km 46 D, repartissant ainsi les patients en 4 groupes. Les 7 parametres necessaires au calcul selon la formule Holladay 2 ont ete recueillis. Le resultat refractif post-operatoire a ete retranscrit en equivalent spherique pour calculer a posteriori la puissance ideale. L’ecart refractif entre les resultats obtenus avec les differentes formules et cette puissance ideale a ete calculee. Resultats Cent vingt-six yeux operes par deux chirurgiens ont ete inclus. La precision de calcul des differentes formules variait selon les groupes : (i) pour les grandes LA (n = 32), la formule SRK/T etait la plus precise ; (ii) pour les petites LA(n = 34) les formules Hoffer Q et Holladay 2 etaient meilleures ; (iii) pour les cornees cambrees (n = 27) les formules Hoffer Q, Haigis, Holladay 1 et 2 etaient toutes comparables en termes de resultat refractif ; et (iv) pour les cornees plates (n = 33), Holladay 1 et 2 etaient plus precises. Conclusion La formule Holladay 2 ne semble pas superieure aux autres dans cette etude quel que soit le groupe etudie. |
Databáze: |
OpenAIRE |
Externí odkaz: |
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