Projet de formation CILSS pour le renforcement en personnel dans les activities de protection des vegetaux

Autor: Sanou Moussa
Rok vydání: 1989
Předmět:
Zdroj: International Journal of Tropical Insect Science. 10:783-786
ISSN: 1742-7592
1742-7584
DOI: 10.1017/s1742758400012546
Popis: Les activites du Departement de Formation en Protection des Vegetaux (DFPV), s’inscrivent dans le cadre de la contribution a l’un des objectifs prioritaires du Comite Permanent Interetats de lutte contre la Secheresse dans Ie Sahel (CILSS) qui est l’autosuffisance alimentaire. Ainsi, depuis 1982, le DFPV est charge de renforcer cet objectif dans l’amelioration de la protection des cultures et des produits entreposes contre les ravageurs, les maladies et les mauvalses herbes par la voie de la formation et de 1’information, en mettant 1’accent sur la lutte integree en relation avec les systemes de cultures traditionnels. Les formations sont de duree variable et sont destinees a des cadres moyens et des cadres superieurs deja en fonction pour qu’ils soient immediatement operationnels a leur sortie. La plus longue concerne celle des Techniciens en Protection des Vegetaux (TPV) dans un cycle de deux ans e partir du niveau Agent Technique d’Agriculture. Les formations de courte duree (4 mois) s’adressent a des niveaux superieurs, tout d’abord les formateurs en protection des vegetaux des ecoles d’agriculture pour servir d’amplificateur dans les Etats membres, la formation des Techniciens SuperieursetdesIngenieursdeTravauxAgricoIes pour apporterplusd’efficacite dans les interventions et la vulgarisation. Les formations de courte duree (3 semaines) sont decidees par les Etats membres pour faire face soit a un fleau (acridiens, rongeurs), soit pour pallier a une deficience organisationnelle (controle phytosanitaire). D’une maniere generale les formations ne touchent pas directement les paysans mais par l’intermediaire des personnes formees. En matiere de diffusion de l’information en protection des vegetaux ce sont les memes categories de personnes qui sont touchees en plus des chercheurs au Sahel.
Databáze: OpenAIRE