Autor: |
A.-S. Cottereau, Jessica Ohnona, M. Gauthé, J. Zhang Yin, Jean-Noël Talbot, Valérie Nataf, S. Balogova, O. Bélissant |
Rok vydání: |
2017 |
Předmět: |
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Zdroj: |
Médecine Nucléaire. 41:453-457 |
ISSN: |
0928-1258 |
DOI: |
10.1016/j.mednuc.2017.05.001 |
Popis: |
Resume L’augmentation de la concentration serique de l’antigene specifique de la prostate (PSA) est un probleme croissant se produisant chez plus du tiers des patients qui ont beneficie d’un geste radical pour la prise en charge initiale d’un cancer de la prostate. Chez ces patients, Il est donc tres important d’identifier par imagerie les foyers de recidive avant de proposer un traitement loco-regional ou systemique. L’interet de la TEP/TDM a la 18 F-fluorocholine (FCH) dans cette indication est demontre depuis plusieurs annees. Recemment, des ligands de l’antigene transmembranaire PSMA, exprime par pratiquement tous les cancers de la prostate, ont ete marques avec des nucleides pour l’imagerie TEP. La TEP/TDM au 68 Ga-PSMA-11 (PSMA-11) a ete decrite comme superieure a la FCH, mais aussi a l’imagerie conventionnelle, pour deceler la recidive de cancer de la prostate. Nous presentons ici le cas d’un patient avec un antecedent de prostatectomie pour cancer de prostate et posant le probleme d’une elevation du PSA sans cible suspecte de maladie residuelle ni avec la FCH, ni sur l’IRM pelvienne. Le PSMA-11 a identifie une cible ganglionnaire pelvienne et a permis d’entreprendre une therapeutique curative ciblee et d’eviter la mise en route d’une hormonotherapie « palliative ». Nous presentons ensuite une courte revue de la litterature sur ce sujet, avec presentation des performances publiees de la TEP au PSMA-11 et des principaux pieges d’interpretation. |
Databáze: |
OpenAIRE |
Externí odkaz: |
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