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Résumé: Souvent on aperçois les organisations publiques comme entités inefficaces, inefficientes et moins rentables, la principale raison de ce constat négatif est dû aux différents dysfonctionnements subit depuis des années, vue leur nature organisationnelles et leurs finalités spécifiques (Charreaux, 2006)[1]. Ainsi, l’objectif affiché par les décideurs et les politiciens est de trouver les pistes permettant d’améliorer la performance qui reste un défi majeur afin d’aboutir au développement souhaité. Au cours des dernières années, et dans le but d’améliorer la gouvernance et la performance, de nombreux pays de l’OCDE se sont engagés dans un processus de modernisation de leur gestion publique. De plus, plusieurs pays optent pour une accélération de la privatisation, ce qui remis en cause le rôle même de l’Etat, sachant que les entreprises privées sont plus performantes surtout dans les secteurs stratégiques. C’est dans cette perspective de rendre les organismes publics efficaces et efficientes, que l’Etat marocain cherche à mettre en place depuis des années des politiques destinées à améliorés le management et la performance des organismes publics. Cet article donne une vision d’ensemble sur l'évolution de l'approche de la nouvelle gestion publique, de la combinaison des facteurs de changement et des potentiels et défis de sa mise en œuvre. Il s’agit de mettre l’accent sur le lien présent entre les réformes notables et la performance du secteur public. Ce travail vise à éclaircir les domaines ou la pratique du nouveau management public qui constitue des pistes à suivre pour le développement des performances. Le but étant de fournir une réflexion théorique sur la nouvelle gestion publique, constituant ainsi un cadre de référence approprié pour l’instauration d’une politique claire, réaliste et réalisable en matière de management de l’organisation publique. Mots clés : Nouveau Management Public, performance, réforme administrative. Abstract: Public organizations are often seen as inefficient, ineffective and less profitable entities, the main reason for this negative observation is due to the various dysfunctions they have been experiencing for years, given their organizational nature and their specific purposes (Charreaux, 2006). The objective of decision makers and politicians is to find ways to improve performance, which remains a major challenge in order to achieve the desired development. In recent years, and with the aim of improving governance and performance, many OECD countries have embarked on a process of modernizing their public management. In addition, several countries are opting for an acceleration of privatization, which calls into question the role of the State, knowing that private companies are more efficient especially in strategic sectors. It is in this perspective of making public organizations effective and efficient, that the Moroccan State has been trying to put in place for years policies aimed at improving the management and performance of public organizations. This article provides an overview of the evolution of the New Public Management approach, the combination of multiple factors of change, the potentials and challenges of its implementation. The focus is on the link between significant reforms and public sector performance. This work aims to clarify the areas, the limits and the practice of the new public management which constitutes leads to follow for the development of the public performances. The purpose is to provide a theoretical reflection on the new public management, and so constituting an appropriate frame of reference for the establishment of a clear, realistic and achievable policy in terms of management of the public organization. Keywords: New Public Management, performance, administrative reform. |
