Autor: |
M. Ott, Raoul Santucci, A. Freyd, O. Meunier, F. Herrmann, F. de Blay |
Rok vydání: |
2007 |
Předmět: |
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Zdroj: |
Revue Française d'Allergologie et d'Immunologie Clinique. 47:402-408 |
ISSN: |
0335-7457 |
DOI: |
10.1016/j.allerg.2007.02.105 |
Popis: |
Resume But de l’etude A partir des donnees du laboratoire de microbiologie de l’environnement nous avons voulu decrire les flores fongiques isolees des habitations de personnes presentant des symptomes cliniques pouvant etre associes a la presence de moisissures. Patients et methodes A partir des donnees du laboratoire nous proposons une etude retrospective et descriptive de la contamination fongique de certaines habitations. Plusieurs techniques ont ete utilisees pour mettre en evidence les moisissures de l’environnement : ecouvillonnage des surfaces, empreinte gelosee, prelevement direct avec un ruban adhesif, prelevement de poussiere de maison. Nous avons etabli la liste des moisissures les plus frequemment rencontrees et etudie le rendement de la technique d’observation directe (ruban adhesif) et des techniques de mise en culture pour caracteriser la mycoflore des habitations. Resultats Trois cent trente-huit prelevements realises dans 61 domiciles entre 1996 et 2006 ont ete etudies. Trente-huit genres fongiques ont ete identifies au total, soit 9,2 genres differents par habitation en moyenne. Les genres les plus souvent identifies sont Cladosporium sp . (present dans 88 % des logements etudies), Aspergillus sp . (82 %) et Penicillium sp . (78 %). Nous montrons que les techniques utilisees sont complementaires et l’association de plusieurs sites de prelevement (poussiere, terre, surface) augmente le nombre des genres fongiques differents isoles dans chaque habitation. Conclusion De nombreux prelevements associant des techniques differentes sur des sites differents sont necessaires pour caracteriser la mycoflore d’une habitation. |
Databáze: |
OpenAIRE |
Externí odkaz: |
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