Monitoring nanoparticles surface during catalysis

Autor: Carenco, Sophie
Přispěvatelé: Matériaux Hybrides et Nanomatériaux (MHN), Laboratoire de Chimie de la Matière Condensée de Paris (LCMCP), Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Collège de France (CdF (institution))-Institut de Chimie du CNRS (INC)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Collège de France (CdF (institution))-Institut de Chimie du CNRS (INC), Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Collège de France (CdF (institution))-Institut de Chimie du CNRS (INC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Collège de France (CdF (institution))-Institut de Chimie du CNRS (INC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
Jazyk: francouzština
Rok vydání: 2016
Předmět:
Zdroj: L'Actualité Chimique
L'Actualité Chimique, Société chimique de France, 2016, 408-409, pp.93-96
L'Actualité Chimique, 2016, 408-409, pp.93-96
ISSN: 0151-9093
2105-2409
Popis: International audience; At the macroscale, appearances can be deceptive : when exposed to gas, the surface of a metal is actually able to reconstruct. This remains true for nanoparticles used in a catalytic process, though a nanoparticle contains but a few thousand atoms. Amongst the tools developed for monitoring these elusive transformations, X-ray photoelectron spectroscopy under the pressure of gas has been developed strongly over the last years.This article presents the case of core-shell metal nanoparticles containing nickel and cobalt, for which this spectroscopy has highlighted structural transformations during the hydrogenation of carbon dioxide.; Contrairement aux apparences à l’échelle macroscopique, la surface d’un métal est susceptible de profondes reconstructions lorsqu’on l’expose à des gaz. Ceci reste vrai dans le cas de nanoparticules métalliques ne contenant que quelques milliers d’atomes, qui sont utilisées dans une grande variété de procédés catalytiques. Parmi les outils disponibles pour suivre ces transformations fugaces, la spectroscopie de photoélectrons X sous pression de gaz s’est fortement développée ces dernières années.Cet article présente un cas d’étude sur des nanoparticules cœur-coquille de cobalt et nickel, pour lequel cette spectroscopie a mis en lumière les transformations structurales à l’œuvre lors de l’hydrogénation du dioxyde de carbone.
Databáze: OpenAIRE