Growth and Income Distribution Inequalities in Sub-Saharan Africa: A Dynamic Model Approach
Autor: | Ndiaye, Cheikh Tidiane, Dagoudo, Armand Akomavo, Mbengue, Babacar |
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Přispěvatelé: | Laboratoire de Recherche en Economie de Saint-Louis (LARES), Université Gaston Berger de Saint-Louis Sénégal (UGB), Ndiaye, Cheikh Tidiane |
Jazyk: | francouzština |
Rok vydání: | 2021 |
Předmět: |
J24
Growth Dynamic panel [SHS.ECO]Humanities and Social Sciences/Economics and Finance Quasi-Maximum de vraisemblance. Classification JEL : C33 Quasi-Maximum Likehood Quasi-Maximum Likehood. JEL classification : C33 Inequalities [SHS.ECO] Humanities and Social Sciences/Economics and Finance Croissance D30 Inégalités Panel dynamique D31 J24 Growth |
Popis: | The objective of this paper is to study the link between the distribution of income and the economic growth using the data of sub-Saharan Africa during the period 1980-2015. The study was carried out by using a model of Quasi-maximum of likelihood for the estimations. This method is particularly adequate for estimates in panel where temporal dimension is small. The results, which rise from this study and start from the estimated models of Solow, show that inequalities have a positive effect on the economic growth. This effect varies from 0.70 point with 0.79 point. The mean number of years of schooling affects the growth of the GDP negatively. These results are stable even if we distinguish the human capital of male from the female one. It is also observed that in the model of Solow without human capital, the inequalities of incomes are not significant and can explain anymore in the economic growth. L'objectif de cet article est d'étudier le lien entre la distribution des revenus et la croissance économique à l'aide des données de l'Afrique subsaharienne au cours de la période 1980-2015. L'étude a été réalisée en utilisant une méthode de Quasi-maximum de vraisemblance pour effectuer les estimations. Cette méthode est particulièrement adéquate pour des estimations en panel où la dimension temporelle est petite. Les résultats qui découlent de cette étude montrent qu'à partir des modèles de Solow estimés que les inégalités ont un effet positif sur la croissance économique. Cet effet varie de 0,70 à 0,79 point. Le nombre moyen d'années de scolarisation affecte négativement la croissance du PIB. Ces résultats sont stables même si on distingue le capital humain des hommes de celui des femmes. On observe aussi que dans le modèle de Solow sans capital humain, les inégalités de revenus ne sont plus significatives dans l'explication de la croissance économique. |
Databáze: | OpenAIRE |
Externí odkaz: |