Autor: |
Poupin, Joseph, Zubia, Mayalen, Gravier-Bonnet, Nicole, Mulochau, Thierry |
Přispěvatelé: |
Institut de Recherche de l'Ecole Navale (IRENAV), Université de Bordeaux (UB)-Institut Polytechnique de Bordeaux-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE)-Arts et Métiers Sciences et Technologies, HESAM Université - Communauté d'universités et d'établissements Hautes écoles Sorbonne Arts et métiers université (HESAM)-HESAM Université - Communauté d'universités et d'établissements Hautes écoles Sorbonne Arts et métiers université (HESAM), Ecosystèmes Insulaires Océaniens (UMR 241) (EIO), Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer (IFREMER)-Université de la Polynésie Française (UPF)-Institut Louis Malardé [Papeete] (ILM), Institut de Recherche pour le Développement (IRD), Laboratoire d'Ecologie Marine (ECOMAR), Université de La Réunion (UR), BIORECIF, IRENav, Institut de Recherche de l'Ecole Navale, HESAM Université (HESAM)-HESAM Université (HESAM), Université de la Polynésie Française (UPF)-Institut Louis Malardé [Papeete] (ILM), Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer (IFREMER) |
Jazyk: |
francouzština |
Rok vydání: |
2014 |
Předmět: |
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Zdroj: |
[Rapport de recherche] IRENav, Institut de Recherche de l'Ecole Navale. 2014, pp.1-29 |
Popis: |
Les crustacés décapodes et stomatopodes sont inventoriés pour la première fois de l’île de Juan de Nova. Au total 111 espèces sont reconnues, 69 crabes, 28 anomoures, 10 crevettes, 3 stomatopodes et 1 langouste. Cette liste est disponible sur Internet, avec des photographies, dans la base IRENav/CRUSTA (http://crustiesfroverseas.free.fr/search_result.php?refregion=Juan de Nova). Le bilan de cet inventaire est plus modeste que ceux effectués précédemment pendant les campagnes BIORECIE, à Europa en 2011 (175 espèces) et aux Glorieuses en 2012 (157 espèces). Plus qu’à une plus faible biodiversité, ce résultat est attribué aux difficultés d’échantillonnage à Juan de Nova, avec un platier difficile d’accès, très étendu (2-3 km) et découvrant par ailleurs peu aux moments des basses mer de cette campagne. La faune terrestre est un peu plus riche qu’à Europa, avec la présence du crabe de cocotier Birgus latro et du crabe Geograpsus grayi, mais un peu plus pauvre qu’aux Glorieuses qui compte deux espèces supplémentaires (Coenobita brevimanus et Discoplax rotunda). Une tentative de distribution des espèces par habitats est proposée en adoptant une cartographie simplifiée : milieu terrestre, supra et intertidal, platier sableux, platier corallien, front récifal et récif externe. Les inventaires pour les îles Eparses sont également comparés à celui réalisé pour les Comores, essentiellement Mayotte (483 espèces), zone mieux échantillonnée et beaucoup plus riche car disposant de biotopes plus étendus et plus variés. La faune des îles Eparses est typiquement indo-ouest pacifique dans sa composition avec cependant un petit groupe d’espèces qui ne sont connues que de l’ouest de l’océan Indien. Trois espèces ne sont toujours connues que de îles Eparses : Pagurixus annulus et P. europa Komai & Poupin (2013) et Thalamita pseudospinifera Crosnier (1975) Une forme a été identifiée comme cryptique, correspondant vraisemblablement à une nouvelle espèce (Calcinus aff. pulcher). |
Databáze: |
OpenAIRE |
Externí odkaz: |
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