Autor: |
Boisseau, Agnès |
Přispěvatelé: |
Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse - ENVT (FRANCE), Institut National Polytechnique de Toulouse - INPT (FRANCE), Université Toulouse III - Paul Sabatier - UT3 (FRANCE), Institut National Polytechnique de Toulouse - Toulouse INP (FRANCE) |
Jazyk: |
francouzština |
Rok vydání: |
2019 |
Předmět: |
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Popis: |
Seules deux études (Cave et al, 2002 ; Oger, 2018) se sont intéressées aux causes de mortalité chez le chaton par histopathologie, mais aucune n’a utilisé la PCR, méthode de référence permettant de détecter des agents pathogènes de manière très sensible et spécifique. Des données fournies par le laboratoire Scanelis concernant une population de 334 chatons morts avant l’âge de 4 mois entre 2010 et 2019 ont été étudiées. Les vétérinaires ont généralement recherché les agents pathogènes et envoyé les prélèvements correspondant à leur suspicion clinique : chez les chatons morts avant l’âge d’un mois (resp. après l’âge d’un mois) des signes respiratoires (resp. digestifs) sont plus fréquemment observés, du poumon (resp. un écouvillon rectal) est plus fréquemment prélevé et les agents pathogènes les plus fréquemment recherchés sont l’Herpesvirus et le Calicivirus (resp. le Parvovirus et le Coronavirus). La progression des connaissances dans ce domaine mériterait des analyses PCR systématiques et standardisées accompagnées de commémoratifs et de rapports d’autopsie et d’histopathologie détaillés |
Databáze: |
OpenAIRE |
Externí odkaz: |
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