Autor: |
Charvolin, Florian, Joliveau, Thierry, Pietropaoli, Karine |
Přispěvatelé: |
Centre Max Weber (CMW), École normale supérieure de Lyon (ENS de Lyon)-Université Lumière - Lyon 2 (UL2)-Université Jean Monnet - Saint-Étienne (UJM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Environnement, Ville, Société (EVS), École normale supérieure de Lyon (ENS de Lyon)-École des Mines de Saint-Étienne (Mines Saint-Étienne MSE), Institut Mines-Télécom [Paris] (IMT)-Institut Mines-Télécom [Paris] (IMT)-Université Lumière - Lyon 2 (UL2)-Université Jean Moulin - Lyon 3 (UJML), Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National des Sciences Appliquées de Lyon (INSA Lyon), Université de Lyon-Institut National des Sciences Appliquées (INSA)-Institut National des Sciences Appliquées (INSA)-Université Jean Monnet - Saint-Étienne (UJM)-École Nationale des Travaux Publics de l'État (ENTPE)-École nationale supérieure d'architecture de Lyon (ENSAL)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), IDEX-Maison des Sciences de l'Homme Lyon Saint-Étienne, et Ligue pour la Protection des Oiseaux, Maison des Sciences de l'Homme, Lyon Saint-Etienne, MSH LSE, LPO, CMW, EVS, ANR-16-IDEX-0005,IDEXLYON,IDEXLYON(2016) |
Jazyk: |
francouzština |
Rok vydání: |
2021 |
Předmět: |
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Zdroj: |
[Rapport de recherche] Maison des Sciences de l'Homme, Lyon Saint-Etienne. 2021 |
Popis: |
L’observation naturaliste réalisée par des bénévoles alimente massivement les inventaires d’espèces réalisés ponctuellement ou le monitoring de la biodiversité dans des pays du nord, qu’on pense à l’Angleterre (Manceron 2015) ou à la France (Charvolin 2019). Toutefois cet apport de non professionnels, c’est-à-dire de personnes qui ne sont pas payées pour récolter l’information, est peu pris en compte par les instances internationales comme l’IPBES (l’International Science/Policy Platform, for Biodiversity and Ecosystem Services), qui préfère réserver l’apport « citoyen » uniquement aux pays du sud et l’identifier à la contribution des peuples indigènes. Pourtant des travaux relatifs aux indicateurs de la biodiversité en France montrent qu’un fort pourcentage des données récoltées vient des bénévoles (Levrel et al., 2010). Il est donc urgent de braquer le projecteur sur ces naturalistes bénévoles méconnus internationalement, et notamment selon la vulgate, que, n’étant pas scientifiques, ils ne produisent pas de la donnée « suffisamment bonne » (Gabrys et a l., 2016). |
Databáze: |
OpenAIRE |
Externí odkaz: |
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